Un exemple de courtoisie linguistique

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Alors que chez nous, où les facilités linguistiques sont légalement obligatoires, le bourgmestre NVA fait tout et n’importe quoi pour nous obliger à compléter des formulaires en néerlandais, la Région wallonne permet aux demandeurs néerlandophones d’obtenir un permis de pêche en complétant une demande sur internet.

Quand Monsieur le Sénateur-Bourgmestre supporter du Standard « van Luik » aura-t-il la même courtoisie?

Une réflexion sur « Un exemple de courtoisie linguistique »

  1. Je suis et je resterai toujours bourgmestre pour tous les Fouronnais, je me débrouille en français et je continuerai à le faire pour ceux qui le désirent. Je vous rappelle le temps de Retour où les bourgmestres ne parlaient pas le néerlandais ou n’étaient jamais disponibles à la maison communale! Je reste du parti Voerbelangen en respectant les demandes des francophones qui me visitent, tééphonent ou écrivent. Et, croyez-moi, la plus grande partie ne passe pas par le secrétariat ultra-linguistique de Monsieur Double V.

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