Visite chaudement recommandée

Le blog du Rassemblement Populaire Wallon consacre un article aux Fourons. Je vous le recommande très chaudement, spécialement pour l’abondante documentation illustrée sur cartes.

Merci, Milou, pour ce très beau travail.

25 réflexions sur « Visite chaudement recommandée »

  1. vertelt, kan ik ook niet anders concluderen. Als België verder moet splitsen dan Voeren ook. En de grens ligt tussen Sint-Martensvoeren en ‘s Gravenvoeren en wel omwille van een oude taalgrens en ALLES wat daarmee samenhangt. En dat ALLES is veel meer dan men vermoeden kan als buitenstaander.

    Voeren is wat mij betreft tot nu toe Vlaams grondgebied, maar als Vlaanderen de Franstalige Voerenaar niet wil erkennen voor wie hij of zij, of zijn/haar kinderen, is dan moet Wallonië daar de conclusies uit trekken die getrokken moeten worden: » da verdeel ‘t keend mer ».

    Ik spreek zogezegd, maar wel met recht en reden, als de rechter in ‘n Salomons-oordeel en wil graag zien wie de echte moeder van mijn Voeren is. En daarbij wil ik nooit meer moeten huilen om een kind dat meent zich te moeten schamen voor wat zij is. (Zie de blog van burgemeester Broers).

  2. Ah, ils vivent encore. Je ne le savais plus. Même avec des erreurs (?) historiques dans leur textes. Mais bon, il ont essyé de faire un travail sur les Fourons. Grande faute: eux, qui ont toujours réclamé contre (ce qu’ls appellent) l’annexation de la majorité des Fouronnais au Limbourg, oublient qu’il y a maintenant une majorité qui ne veut plus quitter cette province. Ce qu’ils reprochaient donc aux Flamingants…

  3. Eh ! oui, Monsieur le Bourgmestre, le RPW existe, ne vous en déplaise ! Il semble que vous ayez découvert des erreurs dans les textes historiques placés sur notre blogue ? Fort bien, nous sommes tout prêts à le reconnaître, pour peu que vous ayez l’honnêteté de les signaler au professeur d’histoire que je pourrais être. J’en profite pour dire au professeur de français que vous êtes que vous faites une erreur monumentale dans ma langue. Ce n’est pas « Je ne le savais plus » mais « Je ne le savais pas » que vous eussiez dû écrire. Mais bon, je n’en ferai pas un plat. Quant au fond de votre remarque, je constate que vous êtes en train de détruire vous-même l’une des positions de base du mouvement flamand, à savoir l’intangibilité du territoire flamand. Car votre argument rejoint tout à fait celui du FDF exigeant l’annexion à Bruxelles des communes désormais majoritairement francophones de la périphérie. Huub Broers-FDF : même combat ! Les bras m’en tombent. Au moins, sur ce point, nous au RPW sommes sur la même longueur d’onde que tous les mouvements de libération nationale en Europe ou ailleurs : un territoire est un territoire et cela ne se discute pas. Gibraltar est espagnol, même si 300 ans de colonisation l’on transformé de facto en territoire anglophone. Ceuta et Melilla sont marocains, même avec une population majoritairement hispanophone. Baiona, Donibane Garazi sont aussi certainement basques que Donostia et Gasteiz ou Iruñea. C’est bien cela le problème avec un certain nombre de militants flamands tels que vous : leurs principes sont évolutifs au gré de leurs intérêts. Lorsque vous êtes minoritaires, vous défendez un point de vue X que vous abandonnez aussitôt que vous êtes devenus majoritaires. Allez discuter dans de pareilles conditions ! Dommage, quand l’on pense que notre principal adversaire à tous, Wallons comme Flamands ou Germanophones, c’est un establishment belgico-bruxellois (pas le peuple bruxellois) qui embrouille à plaisir les problèmes pour assurer sa seule survie. Vous vous trompez donc du tout au tout. Notre position de principe sur les Fourons n’est pas basée sur la volonté populaire. C’est une position plus générale, basée sur l’histoire, la géographie, les langues, l’économie, les habitudes sociales, &c. Et, de ce point de vue, vous ne pourrez évidemment jamais avoir le droit pour vous.

  4. Monsieur le bourgmestre et professeur, veuillez encore nous excuser mais « annexation » est, de votre part, soit une assez ridicule traduction d’annexatie (beau terme néerlandais, à n’en pas douter) ou une simple transposition de l’anglais « annexation ». Cela n’a – à preuve du contraire – jamais été un terme français. Par économie de temps sans doute, comme disent nos frères valaisans, nous disons plus simplement, depuis quelques siècles déjà, « annexion ». Ceci pour votre simple gouverne et en toute civilité.

  5. Heureusement je fais des erreurs. Depuis déjà 20 ans, je ne suis plus prof de français (de première année!!), mais bien … d’histoire!!! Enfin, il y avait quelques années. Maintenant, je m’occupe de ma commune. Erreur contre erreur, Milou. Mais bon, vous faites votre travail et moi le mien. Vous voulez faire une dictée en néerlandais et moi en français? En ce qui concerne annexion: oui, vous avez raison. Grosse faute de ma part. mes excuses. Mais je fais l’effort de me faire comprendre en français. A vous de jouer.

  6. Heureusement je fais des erreurs. Depuis déjà 20 ans, je ne suis plus prof de français (de première année!!), mais bien … d’histoire!!! Enfin, il y avait quelques années. Maintenant, je m’occupe de ma commune. Erreur contre erreur, Milou. Mais bon, vous faites votre travail et moi le mien. Vous voulez faire une dictée en néerlandais et moi en français? En ce qui concerne annexion: oui, on a raison. Grosse faute de ma part. Mes excuses. Mais je fais l’effort de me faire comprendre en français. A vous de jouer en néerlandais.

  7. Geachte Heer Burgemeester, nooit (met wat uitzonderingen) zal ik Nederlands spreken zolang mijn Volk en mijn Land niet onafhankelijke zijn. Travaillant à Bruxelles depuis de nombreuses années, et notamment pendant près de huit ans avec pour collègue et ami Werner Vandenabeele, l’un des fondateurs de la VU, je pratique forcément le néerlandais. Le tout est de savoir qui l’on a en face de soi : quelqu’un qui vous respecte ou non. Je suis bien forcé de constater, depuis tant et tant d’années, que mes soeurs et frères Fouronnais n’apprécient pas, mais pas du tout, le « respect » que vous leur marquez. Je constate enfin qu’à ma question de connaître les erreurs historiques que vous auriez découvertes dans mon article publié sur le blogue du RPW, vous ne répondez pas. Dois-je en conclure qu’en dénonçant ces erreurs, vous ne faisiez que de la com’ facile ?

  8. Beste mensen, laten we het hier niet hebben over zaken die eigenlijk naast de kwestie zijn, én beledigend kunnen overkomen, met name taalfouten. Ikzelf heb nog nooit de drang gehad enige opmerkingen te maken over de taalfouten die M. Henen maakt tegen de nederlandse taal. Ik prijs hem dat hij de moeite doet om zich te durven uiten in een andere taal. Dus de opmerkingen van meneer Rikir zeggen meer over hem (en zijn beweging?) dan over Huub Broers (of de Voerense kwestie)…

    Het is veel belangrijker de inhoud eens goed te lezen van de kaartenstudie over Voeren. Het komt er op neer dat al wat historisch eigen is aan een volk, dat ook zo moet blijven, stelt Rikir. Een soort van teritorialiteitsbeginsel dus. Een stelling die de Vlaamsgezinden inderdaad er ook op na houden. Wat mij betreft is het de eerste keer dat ik dergelijke redenering uit de mond van een franstalige hoor!!

    Ter illustratie: enige tijd geleden dit uit de mond van een Luikenaar in Tongeren gehoord: « Eigenlijk is Tongeren een Waalse stad, en hoort ze bij Wallonië te behoren, want iedereen hier kan Frans en kan me in mijn taal beantwoorden. » Dit zei me genoeg hoe Walen denken en voelen…

    Enkele bedenkingen voor meneer Rikir:

    – Welke « historische » rechten heeft Wallonië over Komen? Ik vind geen enkele kaart van voor 1963 en eeuwen voordien, waarop duidelijke banden te zien zijn tussn Komen en Wallonië.

    – Wat een manifeste breuklijn blijkt er toch te bestaan tussen de Brusselse francofonie en de Walen. Het enige wat hen bindt, blijkt de taal te zijn, en dan nog… Eigenlijk is Rikir met zijn Waalse Volksbeweging in zekere zin een geestesgenoot van de Vlaamse Beweging: hun denken kent alleszins dezelfde grondslag.
    Rikir stelt immers duidelijk dat de Brusselse olievlek niets van doen heeft met het Voerens probleem: het zijn de Brusselaars zelf (vaak Franstaligen) die zelf de keuze hebben gemaakt om in de rand te gaan wonen, zich er daar te gaan vestigen om redenen van allerlei aard (o.a. verloedering van de grootstad), en dit in gemeenten die altijd een Vlaams karakter hebben gehad. Aan de inwijkelingen dus om zich aan te passen. Want, stelt Rikir, Dalhem gaan we toch ook niet laten overgaan naar Nederland, omwille van de invasie van aldaar van Nederlandse onderdanen… (sic)

  9. Vous avez l’avantage, en Flandre, d’avoir des médias qui ne soient pas tous situés à Bruxelles ou dépendants d’intérêts extérieurs à votre pays. La Wallonie n’a pas cette chance : tous les médias y sont soit bruxellois, soit… flamands (groupe de l’Avenir). Pas étonnant, avec cela, que vous ne connaissiez pas les positions d’un certain nombre de mouvements wallons. Ainsi, la position du RPW de Liège sur la question de la périphérie bruxelloise n’a rien d’unique. Elle est également celle défendue par le Parti France. Elle est aussi celle défendue par de nombreux militants wallons depuis les origines de cette question (voire les origines tout court du mouvement wallon si l’on prend en compte toute la problématique bruxelloise). Mais je reconnais bien volontiers que cette position n’est pas celle que l’on entend partout proclamer. Et tout autant qu’elle est à l’heure actuelle minoritaire aussi bien en Wallonie en général que dans le mouvement wallon en particulier (infesté qu’il est par les franchouillards rattachistes). Le bourrage de crâne bruxello-belgicard fonctionne à plein en Wallonie.
    Pour ce qui est des fautes de français, je n’en faisais juste le reproche à M. Broers que parce que lui-même, ancien professeur de français, reprochait au régent en histoire que je suis des erreurs (j’ignore toujours lesquelles) dans cette matière. Enfin, concernant Comines-Warneton. Vous ne m’avez pas lu à fond, ni sur le blogue du RPW ni dans mes commentaires sur le présent blogue : ma position ne se base pas uniquement sur l’histoire. Pas plus sur la langue. Pas plus encore sur l’économie ou sur quelque autre matière en particulier. Elle se base sur tous ces aspects pris ensemble. Oui, Comines-Warneton a toujours été du comté de Flandre. Et alors ? Ces communes sont depuis des siècles de langue romane (plus « ch’ti » qu’eux, tu meurs !) avec, certes, une minorité de langue flamande. Economiquement, elles ont toujours été tournées vers Lille et la « Flandre wallonne ». Et en 1963, les habitants de Comines-Warneton n’ont pas protesté contre leur rattachement au Hainaut. Il n’y a eu aucun référendum pour demander le retour en Flandre. Le monde politique flamand dans son extrême majorité n’a rien eu à redire à ce transfert. Un seul parlementaire local a protesté à l’époque : le député (PSC ? CVP ? Il y avait de quoi se poser la question) Robert Devos, de Mouscron mais en fait Courtraisien. Rien que cela montre que l’éternelle mise en parallèle de Fourons et de Comines-Warneton est absurde. Aussi absurde que la mise en parallèle de la périphérie bruxelloise et de Fourons. Donc, ici, causons d’abord de Fourons et de l’avenir de ses habitants.

  10. Tout à fait d’accord avec l’analyse d’Emile Rikir: la situation de Fourons et celle de la périphérie bruxelloise ne sont en rien comparables. Et le paradoxe flamand est qu’ils dénoncent les francophones qui viennent s’installer en périphérie, et y conquièrent la majorité, et célèbrent les Hollandais venus vivre à Fourons, parce qu’ils leur ont donné (enfin) cette majorité. Vérité en-deçà de la Voer, mensonge par-delà?

  11. Philochar ne sait même pas que 90% des Hollandais sont d’origine familliale fouronnaise. Ne sait-il pas qu’il y avait déjà 600 Néerlandais à Fourons (six villages) en 1900 (!) et qu’ils ne sont donc pas « venus virvre à Fourons » récemment. Pour la plus grande majorité ils ont donc vévu les années folles de Fourons. Leurs ancètres sont enterrés chez nous. Ils vivent au moins avec nous depuis le début du siècle pécédent. Cela vous éhappe?

    Et puis, Philochar, que dire de la majorité Voerbelangen au CPAS où seulement les Belges ont le droit de vote. Vous vous trompez plus que jamais. Vous ne connaissez pas trop bien la situation.

    Non, vraiment, vous n’avez aucun argument valable!

  12. Avec mes excuses. Mais le Droit du Sol est historiquement installé en Europe par la France pour protéger la France et les régions francophone (et autres) sous leur tutelle.

  13. Tout faux, Monsieur le Bourgmestre. Le droit du sol instauré par la Révolution française n’avait nullement pour objet d’asseoir la tutelle française. Il avait pour objet d’asseoir, au contraire, le principe d’Universalité. Tout qui était né en France était français. Tel était le principe. La Révolution alla même plus loin, puisqu’elle décrétait la naturalité française pour tous les défenseurs de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité. C’est au nom de ce dernier principe que Thomas Paine (Anglais d’Amérique) et Johann Baptist Von Gnadenthal, Freiherr von Cloots furent membres de la Convention Nationale (1792). C’est la dictature robespierriste qui mit fin à cette vision si moderne des choses, comme elle en vint à pratiquer la politique des frontières naturelles (1793) et, partant, à donner à la notion de droit du sol une acception purement jacobine, c’est à dire autoritaire, sinon totalitaire. Le droit du sol auquel vous vous référez n’est donc pas une notion française mais bien une notion jacobine. Il ne m’étonne guère que vous en soyez partisan. Quant au mouvement wallon, sa notion a toujours été autre et fidèle aux principes instaurés tant par la Révolution liégeoise (Congrès de Polleur) que par la Révolution française débutante : est Wallon(ne) tout qui habite et vit en Wallonie.

  14. Le propos n’est pas d’entretenir une polémique stérile, mais le nombre de Hollandais en 1900 n’est sans doute pas resté stable, et il y a tout de même aujourd’hui une forte « immigration » que tout le monde constate au jour le jour. Et personne ne conteste qu’à la première élection où ils ont eu le droit de vote -exercé comme nulle part ailleurs en Flandre- c’est eux qui ont fait la différence, aux élections du 8 octobre 2000. Pour la suite, d’autres éléments d’analyse interviennent, mais le poids du vote hollandais subsiste.
    J’espère qu’il ne faut pas déduire de tout cela qu’une personne qui vient s’installer dans une commune n’y bénéficierait du droit de vote qu’à la condition d’avoir eu des ancêtre qui y auraient vécu??? (lol)

  15. U schrijft hieronder dat 90% van de Nederlanders in Voeren in Voeren geboren en getogen zijn. Want dàt zegt u als zegt dat 90% Voerense wortels heeft. Dàt is een flagrante leugen en dat weet uzelf maar al te goed want u kunt de bevolkingsregisters met alle gemak inzien wanneer u maar wil. U schrijft het ook niet voor niks niet in het Nederlands want elke Nederlandstalige weet dat dit grote onzin is.

    Waarom die leugen, meneer Broers en waarom geen Nederlanders in de Gemeenteraad? Of in het bestuur van Voerbelangen? Mogen Nederlanders dan alleen maar als excuus-truussen op uw lijst? U hebt nu al zeven jaar de tijd gehad om iemand klaar te stomen en er komt maar niks. Willen ze niet of willen ze niet zoals u dat wil of komen ze volgens u dan wat dicht bij de waarheid die u met man en macht voor hun verborgen houdt? Wat zij eigenlijk met hun stem in Voeren aan het doen zijn…

  16. Madame Bep, ik lieg niet. De geschiedenis heeft haar waarden en mensen waarvan de families al sinds 1900 of vroeger in Voeren woonden zijn voor mij op zijn minst autochtone Voerenaars! U bazelt maar wat aan zonder enige kennis van zaken. Ik heb inderdaad de cijfers en u niet. Meerdere van mijn nichten en neven, hun ouders en grootouders: ze zijn hier geboren. En dat noem jij dus geen echte Voerenaars. Wel de heren Happart zeker die hier in 1964 kwamen wonen? Je raskaalt. Excuustruus? Nou, wat was jij dan op de lijst van Retour? de zogenaamde Nederlandse of op zijn minst Belgische met Nederlandse opvoeding? Wat heb je toen allemaal proberen te bewijzen? En ja, wij hebben meerdere Nederlanders in het bestuur van Voerbelangen. En de meesten van hen vinden het zelfs niet nodig dat er Nederlandse burgers op onze lijst gaan staan. En toch doen we het. Ook met mensen die hier geboren zijn! Niks te excuses. En weet je wat nog? Bij de verkiezingen schreven enkele mensen de teksten en die werden dan voorgelegd aan Vlaamse, Nederlandse en enkele Franstalige Voerenaars!!! Zo hebben wij gewerkt. En weet je wat nog? We zijn bezig met de oprichting van gemeentelijke adviesraden. En daarin zullen Belgen en Nederlanders belangrijke rollen spelen. Maar, dat wil jij niet zien. Je bent gewoon een brok haat, een brok nijd, een brok afgunst, een brok hoge dunk tegenover mij. Waarom toch? Omdat ik wel geraakt ben waar jij wenste te komen? Nu ga ik dan toch even heel persoonlijk worden over mijzelf. Het zou niet mogen, maar ik doe het toch. Gewoon om even te doen nadenken. Niet om medelijden te wekken. Ik heb daar heel hard voor gewerkt en heel veel moeten opgeven. Zowel sociaal, persoonlijk als familiaal. En dat deed vaak pijn. Maar, ik voel mij maatschappelijk ertoe verplicht en doe dit met liefde voor mijn dorpen en hun mensen. Want, weet Bep, ik kan een veel dikker inkomen hebben dan wat ik nu heb. Zelfs als leraar zou ik netto 374 euro per maand meer krijgen. Maar, daar gaat het in het leven niet om Bep. Het gaat mij om de mensen en hun omgeving. Niet om mijzelf. Niet om de ijdelheid. Niet om de haat tegenover mensen. Ik houd van Voeren en al zijn inwoners. En dat neemt zelfs een haatcampagne mij nooit af. Zelfs toen ik tussen de regels van de verkiezingen bij Retour moest lezen dat mijn gezinsleven of huwelijk eronder leden, heb ik gezwegen. Ook al deed het vreselijk pijn om op dat vlak zo smerig gepakt te worden. Of denk je nu werkelijk dat ik daar gelukkig mee ben? Denk jij nu werkelijk dat ik er niet vaak aan denk dat ik mijn kinderen te weinig « vader heb gegeven » door de politiek? Wanneer men zich verlaagt tot privézaken, is het ver gekomen en heeft dit niets meer met politiek te maken. Enkel met vuilspuiterij. Gelukkig waren er de verstandige kiezers. Ik ben jouw vuilspuiterijen, leugens en verdraaiingen van de feiten zo beu en met mij iedereen die dit regelmatig leest. Op een enkeling na die er een genoegen in schept om jou mij te zien aanvallen. Ik gun hem of haar dat plezier. Ondertussen zou ik graag verder willen werken voor Voeren.

  17. Toutes les personnes telles que le bourgmestre des Fourons (il est vain de dire « notre » puisque huub broers n’a jamais été et ne sera jamais le bourgmestre de tous les fouronnais) ont toujours interprété et découpé l’histoire comme bon leur semble, les exemples ne manquent pas, il n’y a qu’à regarder chez nos voisins français où Le Pen qualifie allègrement les camps d’extermination comme un détail de l’histoire. L’incapacité (ou le manque de volonté?) à analyser des évènements dans leur ensemble, aussi bien passés que présents, reflète assez bien le manque d’intelligence humaine (et autre dans le cas de huub broers) de ce type de régime (dans le cas de la belgique) nationaliste et raciste. Qui sait, peut-être un jour (pas si lointain?) enseignera-t-on dans les manuels d’histoire en Flandre (indépendante?) que le français, les francophones de Belgique et la Belgique elle-même n’étaient que des petits détails de l’histoire…de Flandre…

  18. Meneer Wynants, wat gaat er toch in uw geest allemaal om…? U lijkt me ziek, doodziek! Ga eens wat hulp zoeken, want dit zit helemaal niet meer goed met u.

    Een andere goede raad: al wat u hier al op deze blog hebt neergeschreven , kan tegen u worden gebruikt. Uw verwijten die u rondslingert naar onze burgemeester, zijn er al meermaals zwaar over geweest. Pas hier mee op!!!

  19. En ook de NVA is dat, alhoewel ik grote problemen heb met de invloed van die partij in Voeren, omdat ze daar, naar mijn opvatting, zeker niet op z’n plaats is.

    Mijn allergrootste probleem met de CD&V en daarmee met alle Europese christendemocratische partijen is de Europese EVP, die een Italiaans partij in haar rangen opnam waar, voor mij, zeer moeilijk te verteren leden deel van uitmaken. En dan druk ik mij nog zacht uit! En noem ik ze niet bij hun namen.

    Voor alle duidelijkheid, ik wijs naar niemand in Voeren met de vinger maar wil wel gezegd hebben dat men zich nu eenmaal besmeurd met het soort meerderheid dat men zoekt.

    Wat mij betreft zijn alle mensen die in Voeren wonen zeker Voerenaren maar als burgemeester Broers lichtelijk wil insinueren dat 90% van de Nederlanders dus moet weten waar Voerbelangen mee bezig is, dan wil ik graag gezegd hebben dat dit niet juist is. Nederlanders weten niet hoe een federale staat werkt en zij beschouwen de deelstaat Vlaanderen zoals zij Nederlandse staat kennen. Zij hebben geen notie van het federale politieke krachtenveld en worden daarover ook niet geïnformeerd. En zo kunnen zij de invloed die ze zouden kunnen hebben in de Voerkwestie helemaal niet zien. Ik zie die wel en al heel lang en de enige manier om die mogelijkheid voor Nederlanders verborgen te houden is mij als persoon afmaken. En daartegen hoor ik u niet protesteren, beste dokter Guy Ernon. Waarom niet?

  20. Monsieur Ernon,
    Je vous remercie de vous soucier de ma santé mentale, cela note bien votre conscience professionnelle mais je tiens à vous rassurer, je vais très bien.
    Il est vrai que dans un pays tel que la Russie ou la Chine je serais probablement déjà en train de croupir dans une prison mais n’est-ce pas l’apanage de nos pays que de pouvoir exprimer son point de vue sans peur?
    Ce qui, pour vous, Monsieur Ernon, ressemble à de la diffamation est pour moi l’interprétation d’une réalité quotidienne… la tutelle flamande depuis 40 ans et le pouvoir communal flamand depuis 2000 n’ont de cesse d’imaginer tous les moyens pour exterminer la langue française (et les francophones par conséquent) des Fourons. Certes cela ne passera pas par des camps d’extermination au sens propre du terme mais l’idée est la même…Alors cessez SVP de jouer vos pucelles effarouchées dès qu’un soupçon de vérité visiblement trop pénible à vos yeux est divulgué…ASSUMEZ !!!

  21. Onderstaande tekst is niet van de hand zelf van G. Ernon. Het is eerder als een ludiek grapje bedoeld. Ga er dan ook niet zo verder op in.

  22. Bij het lezen van de tussenkomst van « Guy Ernon » wist elk gezonddenkend mens al onmiddellijk dat dit niet door Guy werd geschreven. Guy is zacht van karakter en zou het eerder wetenschappelijk hebben gedaan.

  23. Wat heeft Bep een lage dunk over onze Nederlandse inwoners. Denkt ze nu werkelijk dat die mensen de situatie in Belgoë niet kennen? Negentig procent van hen woont al sinds decennia in Voeren, of zijn hier geboren, of zijn zelfs afstammelingen van families die hier al meer dan een eeuw wonen. (wat zij tegen alles en alle bewijzen in ontkent). Wat zouden zou dat niet kennen? Wetenschappelijke Barbara lijkt ervan uit te gaan dat ze achter zijn in de conceptie van de geschiedenis en de wetgevende structuren. Foei Bep, hoe durf je zo vernederend zijn.

  24. Il va quand même falloir que le bourgmestre nous explique ces fameux 90% …
    Les docteurs es maths de haut vol diront certainement que les maths ne sont pas une science exacte, à cela je réponds oui, sauf que pour nous, tout en dessous du panier des mathématiques, cela n’est pas vrai : 1+1=2 et rien ne parait plus exact que cette affirmation (au nord comme au sud du pays). Seulement voilà, il se fait que le bourgmestre des Fourons a une toute autre idée sur la question. Fourons 1967 > +/- 4000 âmes Fourons 2007 > +/- 4000 âmes
    Si il y a bien une science qui devrait être exacte aussi, c’est celle du recensement qui nous dit qu’aujourd’hui il y a, à Fourons, +/- 1000 habitants de nationalité batave. Si je fais bien le calcul cela fait 900 qui vivent depuis des décénnies à Fourons. plusieurs possibilités : soit la poignée de hollandais d’il y a 40 ans était en fait une poignée de 900, on nous les avait bien caché ; soit cette poignée a fait beaucoup beaucoup d’enfants (c’est ce que herr von broers a l’air de dire) ; soit on ne recensait pas tous les habitants à l’époque (incultes de francophones qui ne savent même pas compter) ; soit le bourgmestre se plante sur toute la ligne… De toute façon, comme il n’y a pas eu d’immigration grandissante et continue de hollandais dans les Fourons (ça se saurait) il n’y a pas eu non plus de départs grandissants et continus de francophones (ça se saurait), c’est bien connu…Par contre une explication cohérente sur l’évolution démographique des Fourons, il n’y en a pas non plus…chez le bourgmestre en tout cas…
    Merci quand-même huub

  25. Die geldt ook voor u. Ook al is er geen enkele Voerenaar meer die dat geloven kan. Alleen zullen zij dat u niet komen vertellen. Want wat er dan allemaal met je gebeuren kan, dat hebben ze meer dan genoeg gezien. Misschien moet u de Voerenaren eens uitleggen wat het verschil is tussen een verkozen politicus en een burger?

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