Ce ne sont plus des tracasseries ou des brimades!

Cette semaine, une Fouronnaise prend un autobus de la ligne « De Lijn » et demande un ticket pour Fouron-le-Comte. La Fouronnaise est francophone et ne comprend donc pas que le chauffeur lui répond qu’elle ne recevra aucun ticket aussi longtemps qu’elle n’aura pas demandé un ticket pour ‘s-Gravenvoeren. Il y ajoute encore quelques autres insultes que je ne répéterai pas.Une visétoise bilingue, habituée de cette ligne, est alors intervenue et a demandé au chauffeur de délivrer le ticket souhaité.Combien de temps va-t-on tolérer sur cet autobus « De Lijn » un chauffeur qui se permet une telle attitude?

7 réflexions sur « Ce ne sont plus des tracasseries ou des brimades! »

  1. Et combien de temps estc-qu’il te faut avant que les chauffeurs de Tec, les pompiers, les services 100, les docteurs SMUR (qui REFUSENT de répondre à ceux qui leur parlent en néerlandais) nous comprennent? C’est la même chose, mon cher Jean-Louis. Mais, cela ne te tracasse pas depuis des années!

  2. Ce chauffeur de « De Lijn » a non seulement refusé de comprendre que la personne lui demandait un ticket pour Fouron-le-Comte, mais il l’a, de plus, insultée.
    Je crois que si un seul agent des TEC, un seul pompier de Herve, un seul ambulancier ou médecin SMUR se permettait cela, tu en aurais déjà fait un drame, et tu n’aurais pas eu tort.
    Que ces agents francophones ne soient pas nécessairement capables de réussir une rédaction en néerlandais au SELOR sur le vol des papillons, par exemple, je n’en doute pas, mais j’ose croire qu’ils font tous l’effort de tenter de comprendre ce qu’on leur demande et surtout qu’ils respectent les personnes. Et ça n’était manifestement pas l’attitude de ce chauffeur de « De Lijn ».

  3. Omdat ik wil dat Nederlanders, die op Voerbelangen stemden, begrijpen waar het hier over gaat: even een korte vertaling.

    Een franstalige mevrouw stapt op een bus van De Lijn en vraagt een kaartje naar Fouron-le-Comte. Dit is helemaal niet uitzonderlijk en gebeurt maw al jaaaaaren en dagelijks. Deze chauffeur zegt haar echter dat ze geen kaartje krijgt zolang ze niet om een kaartje naar ‘s Gravenvoeren vraagt en begint haar allerlei beledigingen naar haar hoofd te slingeren. Een tweetalige mevrouw, die geregeld deze bus neemt, komt tussenbeide en vraagt de chauffeur een kaart te geven.

    En wat zegt de burgemeester daarop? Wat hebben wij Vlamingen niet al allemaal moeten doorstaan met de TEC, de brandweer, de 100!

    Daarop zegt Jean-Louis Xhonneux dat ‘t personeel van deze franstalige diensten wat boven het hoofd zou hangen – van de zijde van hun eigen meerderen -als zij burgers zouden beledigen zoals de busschauffeur deed.

    U, burgemeester Broers, zou De Lijn moeten vragen of deze busdienst haar personeel belast heeft met het voeren van een op de man of vrouw gespeelde intimiderende taalpolitiek in de faciliteitengemeente Voeren t.a.v. Franstaligen. EN DAT voornemen, en niet meer of minder, verwacht ik van een burgemeester die zich burgmeester van alle Voerenaren noemt. U bewijst met deze reacties eens temeer dat u dat niet bent en ook helemaal niet wil zijn.

    Op de man of vrouw spelen is Vlamingen van NVA-signatuur blijkbaar niet vreemd. Ze geraken zelf tot hier. Een ingeweken Vlaamse Voerenaar die in Sint-Marten woont, meent mij telefonisch te moeten laten weten dat hij in VOEREN woont. Tja…Ik heb maar niet gevraagd: Hoelang nog denkt u?

  4. Là, Bep a évidemment raison. On pourrait attendre du « bourgmestre de tous » qu’il intervienne avec toute l’énergie qu’on lui connaît défendre sa concitoyenne et demander à ses amis de « De Lijn » et de la société concessionnaire de rappeler le chauffeur à l’ordre.

  5. Evidemment, bien évidemment, notre bourgmestre omniscient ne fait pas la différence entre ne pas comprendre ou ne pas bien comprendre (ce qui reste encore à prouver) et ne pas vouloir comprendre en insultant les gens. Jusqu’à preuve du contraire, aucun néerlandophone ne s’est vu refuser l’accès au transport en commun à coup d’insulteS, aucun incendie n’a duré plus que de raison par une incompréhension volontaire et personne n’est mort ou ne s’est vu mal soigné par des médecins francophones, si tel était le cas, d’ailleurs, vous vous seriez empressé de le citer. Vos allusions sont vraiment des insultes à ces personnes qui TOUS les jours sauvent TOUTES les vies…et je ne crois vraiment pas monsieur le tout petit brougmestre que, dans VOTRE domaine, vous puissiez en dire autant… Je pourrais me demander pourquoi vous défendez ce genre de comportement, car c’est ABSOLUMENT cela que vous faites sur ce blog, mais ne dit-on pas que les loups ne se mangent pas entre eux?

  6. Kiek, mesjeu Wynants, ‘t haat weuf en ‘t haat weuf in sjaopevachte. Mae ‘t haat volges ‘n aod verhaol ooch sjäöp in weufvachte. Ich raeëken uch, mèt eur goodkäöring, tut ‘t lètste categorie. Ze waore wie ‘t sjaen oetgesjtorve mae d’r maogt uch noe besjaowe es ‘n laevend fossiel. En dat is toch ooch sjun, neetwoeër?

  7. Comme il est plus difficile de lire le platdutch et encore plus difficile de le comprendre, j’ai demandé à un spécialiste de nous en fournir la traduction: « Des loups et quelques autres espèces…
    Voyez, monsieur Wynants, il y a des loups et il y a des loups à toison de mouton. Mais il y a, selon une vieille histoire, aussi des moutons à toison de loup. Avec votre permission, je vous classe dans cette dernière catégorie. Il semblait qu’ils avaient disparu, mais vous pouvez maintenant vous considérer comme un fossile vivant et cela aussi, c’est pas mal, n’est ce pas? ».
    Merci à notre spécialiste qui se reconnaîtra.

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