
Interrogé par la Commission permanente de Contrôle linguistique, le Gouverneur reconnaît que, en introduisant sa plainte en français, on peut supposer que la personne concernée a fait connaître sa préférence linguistique…
Le plaignant s’était adressé au Gouverneur en français. « La réponse aurait dû être rédigée en français », conclut la Commission.