Quand Vanessa viole Marino Keulen

Pour justifier l’envoi des convocations électorales en néerlandais à tous les électeurs fouronnais, même les électeurs francophones qu’il connaît bien comme tels, le bourgmestre s’abrite derrière les circulaires flamandes, dont celle de son copain M. Keulen.

Une de ses employées, qui agit certainement sur ordre de sa part, ne s’embarrasse pourtant pas des règles flamandes pour écrire EN FRANCAIS à un électeur, habitant maintenant en dehors de la commune (et qui ne bénéficierait donc plus, selon Broers et ses interprétations restrictives, des facilités), pour lui dire de ne pas se déplacer pour voter, malgré le fait qu’il a reçu une carte de convocation officielle.

Plus curieux encore, la lettre ne porte pas les signatures habituelles du secrétaire communal et du bourgmestre, mais simplement « Vanessa ».

Pour dire à un électeur francophone de ne pas venir voter (de quel droit?), les fameuses règles flamandes ne sont plus d’application! Ou Vanessa violerait-elle les règles de M. Keulen sans l’accord de son patron, qui, courageusement, ne signe pas son courrier lui-même?

Une réflexion sur « Quand Vanessa viole Marino Keulen »

  1. Ik feliciteer Voerbelangen met de meerderheid en ik was getuige van de wijze waarop R@L deze stemuitslag bij monde van José Happart, via de RTBF, vernam. Bedroefd accepterend.
    De stemuitslag van de trentsettende gemeente Antwerpen, waar de SP.a met liefst 15,8% meer stemmen, het Vlaams Belang counterde en na 30 jaar weer de meerderheid behaalde, stemt mij gerust wat de communautaire onderhandelingen in 2007 aangaan. Deze zullen ertoe dat het taalprobleem in Voeren opgelost wordt en dat de Franstalige minderheid eindelijk tot haar recht komt in het Vlaamse Voeren.

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