Broers critique des absents. Evaluons des présents!

On l’entend fort peu au conseil communal. Au moment où Broers et Keulen imposaient le néerlandais, Herens s’est distingué en parlant patois.

Il s’illustre par une gestion calamiteuse de son échevinat. Tout est privatisé et rien ne va pourtant mieux.

Va-t-il enfin s’y mettre, maintenant qu’il est pensionné de l’enseignement ? Il assiste à beaucoup de réunions, mais on ne sait pas s’il y dit quelque chose. De toute façon, rien – ou si peu -pour aider les Francophones. Evidemment.

Quand elle sourit, c’est qu’elle va mordre. C’est la dure à cuire venue de la Mer du Nord. Intolérante jusqu’au bout des ongles. Broers l’a mise à la présidence du conseil pour ne plus se salir lui-même. Il a trouvé quelqu’un qui se délecte à faire la sale besogne.

Au moins un qui parle. Il dit ce qu’il pense. C’est souvent ce qu’il ne faudrait pas dire car c’est complètement  à
l’opposé de la propagande officielle de « Voerbelangen ». 

Que fait-il là ? Personne ne le sait car il n’a pratiquement jamais rien dit. Est-il vraiment aussi gentil qu’il en a l’air ?

Le prince carnaval (avec « p » minuscule évidemment !) fait souvent rire, mais c’est un rabique, même si d’après les théories fumeuses du professeur Baerten sa mère serait une wallonne de Henri-Chapelle. Il est tellement populaire que c’est au sein de son propre groupe qu’on a peur de sa popularité.  Elle est telle qu’il pourrait un jour devenir le « grand » homme de Voerbelangen.

Elle est à peine arrivée et elle cumule : le conseil communal, le conseil de l’aide sociale et même des ménages, paraît-il. Est-elle partout aussi silencieuse qu’au conseil communal ?

Elle est la benjamine du conseil communal. C’est pour cela qu’on la voit parfois se lever et ramasser les bulletins de vote. Elle rassemble aussi les P.V. (sur feuilles volantes, comme à Charleroi !). Pour le reste, on n’a jamais entendu le son de sa voix.