Statistiques électorales de Michaël Henen

Quelques statistiques sur le vif :

 

 

          2507 électeurs inscrits en 2007 pour 2565 en 2003

          17 électeurs de l’étranger en 2007 pour 35 en 2003

          1348 bulletins déposés en 2007 dont 142 blancs et nuls pour 1315 bulletins déposés en 2003 dont 82 blancs et nuls

 

En ajoutant les 999 électeurs « aubelois », nous arrivons à un total de 2347 électeurs ayant rempli leur devoir électoral. Soit 168 abstentionnistes ou retardataires fouronnais. Soit un taux de 6,7 % au total.

 

          53,01 %  (-2,86 %) à la Chambre et 52,65 % (- 14,09 %) au Sénat : malgré un léger recul à la Chambre et un beaucoup plus net au Sénat, le cartel CD&V/N-VA garde la préférence des Néerlandophones de Fourons.

          19,41 % (+ 5,22 %) à la Chambre et 18,41 % (+ 8,03 %) au Sénat : le Vlaams Belang a réalisé un carton plein.

          À la Chambre, le sp.a/Spi
rit
s’écrase totalement passant de 10,36 % en 2003 à 5,86 % en 2007. L’électorat néerlandophone des Fourons conforte l’idéologie de l’électeur lambda flamand. Pas de bouleversement en ce sens au Sénat.

7 réflexions sur « Statistiques électorales de Michaël Henen »

  1. Quand on donne des chiffres, on ne peut se tromper. Un exemple, mais pas le seul. Suivant M. Henen il y aurait eu 17 électeurs à l’étranger. Et bien non, il y en avait 71. Parmis eux mon propre fils, cousine et cousin. Tous les trois domiciliés à l’étranger avant même les élections communales.
    Et puis oui, mon parti a reculé. La fois précédente on avait un candidat local sur la liste. Dû à ça?? Moi, je ne le saurais jamais.
    Ce qui m’étonne (ou pas): seulement 991 à Aubel. Un net recul, je suppose? Mais, de l’autre côté, je constate aussi qu’une toute grande majorité s’est présentée avec la convocation originale (991-471 en français = 520) (n.b. aux élections communales il y avait 555 de demandes contre 471 maintenant). Je ne me réjouis pas spécialement de ce fénomène. Je constate seulement qu’on peut très bien rester francophone de coeur et en politique avec une convocation dans la « langue de la région » (voir la loi). C’est ça la démocratie. Les Fouronnais ont donc d’autres préoccupations que la « petite guerre linguistique des documents » que certains continuent à jouer. Oh oui: l’échevin Smeets écrivait que la commune aurait pu présenter les convocations sur base de la carte d’identité. Je ne crois pas – et avec moi le législateur – qu’il serait très agréable pour tout Fouronnais de savoir que « Big Brother Commune » contrôlerait ce choix personnel et libre avant d’envoyer n’importe quel document. Et en plus José, tu te trompes en écrivant que « le ministère » fournissait les convocations. Ce bel et bien la commune! Tu aurais dû le savoir après avoir été bourgmestre pendant six ans! Et pas jouer ce petit jeu politique. Le résultat y est!

  2. Puisque je me serais trompé plusieurs fois, je demande solennellement à Monsieur le Bourgmestre de Fourons, qui est sûrement mieux informé que le citoyen lambda, de transmettre les chiffres exacts en signifiant clairement les erreurs que j’ai commises : les sources du Service Public Fédéral Intérieur, transmises au public via le site http://elections2007.belgium.be/fr/cha/results/results_graph_e11302.html, confortent pourtant les chiffres que j’ai transmis à Jean-Louis.
    Le site annonce encore et toujours pour le canton de Fourons un chiffre de 17 électeurs de l’étranger, ce qui donnerait un total de 2524 électeurs au total.

    Voir également l’article de Jean-Louis Xhonneux concernant l’électrice du Jura suisse qui n’a rien compris en recevant son courrier électoral (http://fourons.skynetblogs.be/post/4619204/pas-facile-detre-fouronnais-de-lexterieur) : sabotage of néét ?

    En ce qui concerne la perte de plumes du cartel CD&V/N-VA, même si cette liste ne comportait plus de candidat local, une perte de 14 % au Sénat ne s’explique pas que par ce phénomène. Mais chacun est libre de son interprétation.
    Pour information tout de même : à quelques dixièmes de pourcent près, c’est la même dégringolade que le Parti Socialiste dans le canton de Charleroi.
    En 2003, le cartel s’est présenté en deux listes distinctes : peut-être est-ce une autre raison que d’autres rechignent à dévoiler ?
    Pas un mot sur les résultats du Vlaams Belang à Fourons ? On va encore dire que je suis un extrémiste mais… ça fait quand même un Fouronnais sur cinq qui a coché VB !

    Les convocations, à présent : Monsieur Broers, qui se dit Bourgmestre de TOUTE sa population, sait très bien que la Loi, celle qu’il vénère en permanence, via les circulaires de ses amis Peeters, Keulen etc., a commué le statut de facilités en difficultés.
    Quoi de plus ennuyant pour un Rémersdaelois que de devoir se déplacer dans d’autres villages (dont certains comme Fouron-le-Comte ou Mouland sont bien éloignés) afin de profiter de ces  » facilités  » ? Et, pour certains, de se battre avec leur fax ou leur téléphone pour pouvoir obtenir de simples documents personnels ou professionnels dans leur langue ?

    Je ne sais plus à quelle occasion récente vous m’aviez traité d’hypocrite ( » schijnheilig doen « ), Monsieur Broers, mais vous me surpassez de loin en écrivant  » Je ne me réjouis pas spécialement de ce fénomène. Je constate seulement qu’on peut très bien rester francophone de coeur et en politique avec une convocation dans la « langue de la région » (voir la loi).  » Au vu des explications que je viens de fournir, cela ne fait aucun doute.

    Les convocations, encore…
    En évoquant une fois de plus la Loi, celle-ci donne, mieux que la possibilité comme évoqué dans les convocations de ce 10 juin, le droit de se rendre à Aubel afin d’y élire des représentants francophones.
    La Loi n’impose peut-être rien en la matière, mais force est d’avouer que la convocation fait furieusement peu de place à cette possibilité.
    Exemples :
    – toutes les données se référant à Aubel sont, soit noyées dans la masse textuelle de la convocation, soit écrites en petits caractères, contrairement aux données de Fouron-le-Comte, ce qui a entraîné des retards dans le chef de certains électeurs à Aubel ;

    – le numéro de bureau mentionné sur la convocation ne correspondait qu’aux bureaux fouronnais, ce qui a entraîné un joyeux bordel et une confusion totale à Aubel ;

    – les listes électorales transmises à Aubel l’étaient par ordre alphabétique, ce qui a impliqué un problème de répartition des électeurs entre les deux bureaux prévus au Hall Omnisports, où le tri avait été effectué par les numéros de liste ou, plus communément, les numéros d’électeurs.

    Listes transmises par… Huub Broers.

  3. Met de juiste mensen op de juiste plaats kan de coalitievorming snel verlopen. Die tweederde meerderheid zal een ander verhaal worden, maar dat hoeft niet als de juiste mensen op de juiste plaatsen NU beginnen te beseffen waar de grens ligt: n.l. bij de menselijkheid van politieke constructies. En vooral daarnaar beginnen te handelen: de Rondzendbrieven Voeren uit ipv uitvoeren EN de twee talen een gelijkwaardig statuut en ‘t Plat een statuut zoals in nederlands Limburg. De juiste mensen op de juiste plaatsen want de burger wil een land dat bestuurd wordt en niet maanden gaat zitten neuzelen en ruzieën, meneer Broers.

  4. Le problème de l’électrice du Jura? Il n’y en a pas. Elle n’habite pas Fourons et dans ce cas on n’a pas droit aux facilités. Ce qui est envoyé par poste diplomatique ne passe pas par la commune!!!!

  5. L’interprétation est un phénomène dont la frange politique flamande s’est abondamment servi pour imposer les différentes circulaires qui font que les facilités se sont mué en difficultés pour les Fouronnais francophones et autres résidents des communes à statut linguistique spécial.

    Il est aussi possible de s’en servir à bon escient : à partir du moment où Madame Mérillat s’inscrit comme électrice sur les listes fouronnaises, elle est assimilée à n’importe quel citoyen fouronnais au niveau électoral et peut donc, à tout le moins, bénéficier des facilités qui émargent à chacun d’entre eux.

    Les remarques auto-suffisantes du Bourgmestre Broers ne mentionnent pourtant pas les chiffres contradictoires censés démentir les chiffres que j’ai fourni à Jean-Louis. Ce qui signifie que ceux que je stipule sont exacts… Pourquoi parler d’erreurs dans ce cas-là ( » Quand on donne des chiffres, on ne peut se tromper. Un exemple, mais pas le seul. « ) ?

    Encore de la  » ziverération « , comme d’habitude…

  6. Volgens mij moet dat toch een aanpassing in de federale kieswetgeving zijn geweest om ze juridisch in orde te maken en die wetgeving wordt door de diplomatieke diensten zonder meer geëerbiedigd. Een Vlaamse Rondzendbrief die duidelijk maakt dat buitenlandse Belgen in Voeren ook in Aubel kunnen stemmen, geeft vanzelfsprekend meer doorzicht voor jan en alleman.

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