Quand quelque chose va !

clocher

Vous savez déjà que vous pouvez compter sur moi pour signaler quelque chose qui ne va pas. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de souligner quelque chose qui va de nouveau: depuis quelques jours, les clochers sont de nouveau éclairés le soir et le matin. Bravo. Et tant mieux si on a trouvé une solution pour réduire la consommation d’électricité en réduisant l’éclairage en pleine nuit.

43 réflexions sur « Quand quelque chose va ! »

  1. Ik heb de resulutie van The International Association for The Defence of Threatened Languages an Cultures op de Nederlandse en Limburgstalige Wikipedia in het artiekel over Voeren gezet de vorige week. EN OOK DAT GAAT! Want er is nog niemand geweest die erin heeft zitten schrappen. Ik zal die resolutie in de komende week ook aan Frans Tmmermans (PvdA-lid van de Nederlandse delegatie van de Raad van Europa) en via hem ook aan René van der Linden (CDA- voorzitter van de Raad) ter informatie laten toekomen.

  2. Merci à ceux qui n’ont pas arrêté de rappeler ce dysfonctionnement.
    Merci à l’administration communale qui paie les factures.
    Merci à Electrabel qui a fait le travail.
    Pourquoi dire merci à Voerbelangen qui avait pris la décision de couper l’électricité.

  3. Je ne peux respecter tes mensonges. Nous n’avons pas coupé l’électricité.
    je lis aussi dans ton résumé du conseil que le groupe Retour s’est opposé contre le travail au corniche de la maison communale à cause d’une faute grave de notre part. J’espère que tu sais que vous avez un échevin qui était d’accord au collège???? Mais qui, tournant avec le vent, s’est opposé au conseil. Mon dieu, mon dieu. Merci de bien vouloir continuer comme ça. Concernant les pompiers ton raisonnement est totalement faux. Tu verras bien.

  4. En ce qui concerne la décision prise par le conseil communal de refuser l’avis proposé par le collège pour répondre à la demande du gouverneur, les auteurs sont tous du même avis: il s’agit d’un acte juridique qui doit être transmis tel quel aux instances qui ont demandé l’avis de la commune. Mais, je sais depuis longtemps que le combat flamingant n’hésite pas à faire quelques écarts avec les principes juridiques.
    L’éclairage du clocher a bien été coupé par quelqu’un et je sais que ce n’est pas mon échevin.

  5. monsieur le bourgmestre,
    Vous êtes risible et c’est dans ces moments que vous cachez le moins bien les limites de votre intellect. La mesquinerie de votre intervention n’est même pas digne d’un enfant de 5 ans. Bien entendu, vous nous gratifiez de ce genre de commentaire à chaque fois que Voerbelangen mène à bien un projet quelconque… Votre fierté n’a pas d’égal, monsieur le bourgmestre, l’apanage des grands est de garder une certaine modestie et une certaine humilité en toutes circonstances, ce dont vous êtes apparemment entièrement démuni…Je présume que vous nous gratifierez des mêmes remarques lorsque votre « parc à container » verra le jour, tout comme vous l’avez fait avec votre fierté communale, cette superbe « dorsale cycliste » aussi navrante qu’inutile. monsieur le bourgmestre, reprendre à son compte les projets de l’ancienne majorité peut vous paraître de bonne guerre politique, certes, mais n’oubliez jamais que vous étiez le premier à vous y opposer farouchement et à faire échouer la plupart de ces mêmes projets dans le passé. Votre mémoire est toujours aussi courte ou aussi sélective mais je n’en attends pas plus d’un petit comme vous…

  6. Jean Le Vaut, écrivait tout calmement un de vos co-listiers? Vous avez vu son résultat?
    Renaud par contre, vivant en état de conflits perpétuels, ne le vallait pas pour les habitants fouronnais.
    Il me semble qu’il n’a pas appris grand-chose en lisant sa haine.

  7. JL, il faudra reprendre tes cours, mais sur base d’autres auteurs. Tout dossier peut être repris en revoter quand on a d’autres éléments. Et on en a!

  8. Au niveau de la demande d’avis concernant le poste avancé de pompiers, il est légalement vérifié que le vote réalisé en date du 23 novembre au sein du vénéré Conseil communal de Fourons doit être transmis tel quel aux autorités ad hoc. Une parité dans le vote équivaut à un rejet : de hauts fonctionnaires compétents à ce niveau me l’ont récemment affirmé.

    Ainsi, vous auriez des éléments nouveaux ? Lesquels ? Peut-être allez-vous enfin vous décider à faire appel à la Commune de Plombières afin que son Service Régional d’Incendie soit compétent sur le territoire fouronnais, en tant que zone frontalière égale à Margraten et Eysden ? Ce qui justifiera amplement de rénover la voie d’accès de Hombourg au Viaduc d’Obsinnich, à l’instar du Schilberg et de la Stadshaag.

    En ce qui concerne l’éclairage de l’Eglise de Rémersdael, Monsieur le Mayeur, sachez que les seules personnes à qui l’on doit dire merci, ce sont les contribuables fouronnais qui  » crachent  » pour pouvoir éclairer quoi que ce soit. Retenez-le : ce sont ces gens qui paient vos émoluments.

  9. A l’instar de ta déclaration d’amour à mon ami Renaud, je sais que tu le diras quand même, comme à ton habitude : Monsieur Henen, habitant les Fourons depuis même pas deux ans, ne valait pas plus que les autres au 8 octobre 2006.

    On peut s’appeler Hubert ou Michaël, avec Monsieur Broers dans tous les cas, un Francophone ne le vaut jamais, hormis si celui-ci est à sa botte…

  10. monsieur le bourgmestre,
    Je ne sais pas ce qui est le plus navrant avec vous. Est-ce le fait que systématiquement vous vous sentiez obligé de ressasser des choses dans le genre : « Je ne peux respecter tes mensonges » ou encore « ton raisonnement est totalement faux » ou encore « Vous vous trompez! »…Je fais grâce à nos lecteurs de toutes les autres réflexions infantiles qui fleurissent sur ce blog. Ou peut-être est-ce le fait que vous ne sachiez (vouliez ?) jamais répondre à aucune de nos questions ? Votre problème monsieur le bourgmestre c’est que votre tactique est aussi basique que transparente. Vous violez quotidiennement les droits de la moitié des habitants de Fourons tout en criant haut et fort que vous oeuvrez (comme vous aimez si bien le dire) pour toute la population. Vous pouvez dire tout ce que vous voulez, la réalité est là et les gens la vivent au jour le jour. Mais votre argument de choc reste sans conteste : « Voerbelangen, c’est la paix et le futur dans et des Fourons et pour les Fouronnais. De quelle langue qu’ils soient. Pour nous la petite guerre, c’est du passé. On travaille à l’avenir! Pour tous et avec tous. », traduction faite, nous flamands voulons la paix, alors que ces terroristes de francophones continuent à vouloir la bagarre, pourtant nous les traitons bien… Mais vous êtes pathétique et dégoulinant de mauvaise foi monsieur le bourgmestre… Toutes proportions gardées, dans le même registre mais avec des manières à peine moins barbares, allez dire à un Tchétchène écrasé par Moscou, à un Palestinien bombardé par Israël ou à un Tibétain enfermé par Pékin que son combat n’a pas de sens et que c’est lui-même, « belliqueux terroriste » qui est responsable de sa situation. monsieur le bourgmestre, vous êtes de cette catégorie de gens rancuniers, stupides, menteurs, magouilleurs, vicieux, despotes et irrespectueux…donc non respectables…N’attendez jamais de moi une quelconque marque de respect ; Michaël et moi sommes des impulsifs de la plume, vous croyez n’entendre que nous mais détrompez-vous, TOUS les francophones de Fourons ont la même opinion de vous, non pas parce que vous êtes flamand mais parce que vous êtes vous-même, l’homme qui a guidé les hordes flamingantes, l’homme qui a fait échoué tous les projets un peu ambitieux depuis 40 ans et qui les reprend à son compte aujourd’hui, l’homme qui décide tout, l’homme qui croit que tout lui est permis, l’homme qui est en croisade depuis 40 ans et qui joue faussement l’ange aujourd’hui… Vous pouvez lâcher toutes les attaques personnelles que vous voulez sur Michaël et moi, nous sommes tous les deux satisfaits de notre score (d’ailleurs, si vous aviez un peu plus de jugeote vous liriez les résultats autrement). Si nous sommes en conflit perpétuel monsieur le bourgmestre c’est parce que je considère qu’une personne comme vous (et bien d’autres d’ailleurs) avec un passé tel que le vôtre n’a pas sa place dans un pays démocratique (?)…mais rassurez-vous monsieur le bourgmestre, vous êtes dans la norme de tous les autres despotes : « rentre dans mon moule ou crève ! »…

  11. J’ai ma place dans ce pays monsieur Wynants. Et je n’ai pas de passé à cacher. Seulement dans une dictature des gens ne donnent place aux autres. Contiunez à jouer votre jeu, mais sans moi.

  12. Na enige tijd de blog niet meer bezocht te hebben dacht ik nog eens te kijken hoe een en ander evolueert. Teleurstelling alom over de non-evolutie.
    Eerder hadden we vergelijkingen met Yoegoslavië en zijn etnische zuivering, nu met de platgebombardeerde en onderdrukte Palestijnen, Tsjetsjeen en Tibetanen. Wij leven echter in een democratische rechtstaat in België, Vlaanderen en Voeren. Iedere 6 jaar hebben we de kans om een nieuw bestuur te kiezen en eventuele despoten naar huis te sturen.
    De verkiezingsuitslag geeft echter geen aanleiding voor een vermoeden van despotisme.
    Wellicht is er nog altijd een groep mensen die een gevoel van onderdrukking heeft. Gevoel en werkelijkheid kunnen echter ver van elkaar af staan. Uit de OCMW uitslag kunnen we aflezen dat steeds meer mensen dit onderdukkingsgevoel overwonnen hebben. De artikelen op deze blog wakkeren echter alleen het onderdrukkingsgevoel aan in plaats van dit proberen weg te nemen. Onderzoek wat er daadwerkelijk bij de bevolking leeft, niet bij de eigen achterban maar bij degenen die geen uitgesproken mening hebben.

  13. Wat een ongehoorde arrogantie om te stellen dat Voerenaren niet weten wat er in hun dorpen gaande is. Dat zij dat u niet komen vertellen, als buitenstaander, is een oud gebruik en heeft vooral te maken met ervaringen en voorbeelden van mensen die dat wel deden en het daarna duur hebben moeten betalen. In Voeren hoeven geen onderzoeken meer te worden gedaan want die zijn gedaan door mensen die een behoorlijke expertise hebben opgebouwd en daarmee naar organisaties stappen die eens een ander licht over de Voerkwestie kunnen laten schijnen.
    U verkoopt boekenpraatjes die helaas bij u nog niet bijgesteld zijn door ervaringen in de werkelijke wereld waar de macht cumuleerd. Wat mij betreft kunt u het daarbij laten en nog heel lang en gelukkig leven. Dat u dan wel nooit de ogen zijn opengegaan mag u gerust beschouwen als een bijkomstigheid.

  14. Uiteraard is het zeer verwerpelijk dagdagelijks op zo’n manifeste wijze als franstaligen in uw rechten te worden geschonden! Hoe houden jullie het eigenlijk vol?

    Vlaamse patiënten in de « werkelijke wereld » van de Brusselse ziekenhuizen, zijn wellicht zo ongeveer hetzelfde lot beschoren. Als lotgenoten van deze arme stakkers, kunnen jullie uiteraard zeer goed aanvoelen wat het betekent de vernedering te moeten ondergaan als zieke niet in je eigen moedertaal geholpen worden, niet door dokters, noch door enig ander personeel.

    Ook hierover, Bep, is er een behoorlijke expertise opgebouwd, én is er naar organisaties gestapt die er eens een ander licht kunnen over laten schijnen.

    Je ziet, Renaud, uiteindelijk vinden we elkaar als verdrukten nog in ons democratisch vaderlandje.

    By the way, retournisten, vraag eens aan burgemeesters van Brusselse gemeenten en Waalse gemeenten met een gedeeltelijke Vlaamse bevolking, hoe zij er WEL in slagen de rechten van hun Vlaamse onderdanen dagdagelijks te respecteren in al hun facetten. Dit kan je dan aan onze Voerense burgervader overbrengen. Laten we dan hopen voor je psychische gezondheid dat het de goeie kant mag opgaan, want het ziet er niet goed uit …

  15. Je ne comprends vraiment pas pourquoi vous participez à ce genre d’organisations? N’est-ce pas vous qui dites que le français est majoritaire dans notre commune? Et puis, que vaut une telle organisation, sauf perte de temps? Pour moi ceux qui me contactent en français seront toujours respectés dans leur langue qui ne sera donc pas menacée par votre adminustration. Il y a qqch comme des facilités!

  16. « Internationale Organisatie voor de bescherming van bedreigde minderheden en culturen.

    Ik begrijp echt niet waarom u participeert in dit soort organisaties. Was u niet degene die zegt dat het Frans in de meerderheid is in onze gemeente? En verder, wat wil zo’n organisatie, behalve tijd verliezen? Wat mij betreft: iedereeen die met mij contact opneemt in het Frans zal steeds gerespecteerd worden in zijn taal en is dus niet bedreigd zoals u insinueert. Er bestaat zoiets als de faciliteiten. »

    Op de eerste plaats, meneer Broers, Vlaanderen beschouwt de faciliteiten sinds de eerste Rondzendbrief in 1998 als uitdovend. Nergens in de taalwetgeving is daarvan sprake en toch zijn de decreten in die geest en kunnen dus als administratieve pesterijen beschouwd worden.
    Ik aanzie de Rondzendbrieven echter ook als een poging om in de administratie de taalgroepen in Voeren te verhullen, waardoor niet meer op het eerste zicht duidelijk is wie Voeren verlaat.

    Op de tweede plaats tekende Nederland al in 1995, het jaar dat de Raad van Europa « Het kaderverdrag inzake de bescherming van nationale minderheden » stemde, dit verdrag en ratificeerde het in 2005 waardoor de Friezen in Friesland het recht kregen om in bestuursaangelegenheden hun eigen taal te gebruiken. België tekende dit verdrag in 2001 maar Vlaanderen weigert het te ratificeren, waardoor het niet uitgevoerd kan worden. De Franstalige Voerenaren mogen hun mandatarissen kiezen, en dat is maar wat normaal in een democratie, maar de verkozenen moeten nog altijd het Nederlands tijdens de Gemeenteraadszittingen gebruiken. Spreken zij daar Frans, en de meesten kunnen niet anders, dan is er gewoon niets gezegd. Ik vind dit anno 2006 een schande. Wat u privee doet, n.l. een Franstalige in het Frans antwoorden, is in deze kwestie minder ter zake. In de gemeenteraad hebt u de Vlaamse handhavingsjob – die blijkbaar niet meer zo populair is in Voeren – aan ondergeschikten laten toekomen. A. Palmans-Casier moet nu de boe-man maar gaan uithangen. Bang dat u stemmen gaat verliezen als u het zelf blijft doen???

    Tot slot, de vereniging die hierboven genoemd wordt neemt het op voor alle bedreigde minderheden, ook de Vlaamse in de Vlaamse Rand, alleen hebben zij geen last van Rondzendbrieven. Daarbij is deze vereniging een door de Raad van Europa erkende NGO met een grote expertise aangaande bedreigde talen en culturen.
    Mijn brieven zijn de deur uit. Nu eens zien hoe ernstig de Raad van Europa haar eigen Verdragen neemt…

  17. Mevrouw Bep is er weer met haar ziekelijke prietpraat. Ik stemmen verliezen? Ik zal niets anders doen dan de vorige 6 jaren en toen heb ik er 235 bijgewonnen. Dus de redenering van die dame klopt nog maar eens niet. Annemie in mijn plaats voorzitter worden was iets dat wij al heel lang hadden afgesproken als de kans zich zou voordoen. Een beloning voor haar jarenlange inzet. En wat ik privé doe met Franstaligen? Wel mevrouw, ik doe dat als burgemeester en dus ook in mijn officiële functie. Gelukkig luisterde ik nooit naar uw prietpraat de laatste jaren. Anders zou ik waarschijnlijk terug in de oppositie gezeten hebben. Uw strategieën zijn gewoon belachelijk en ondermaats. Ze getuigen van een totaal gebrek aan inzicht, kennis, aanvoelen wat bij de mensen leeft, waanzinnige hoogmoed en ook onmacht. Bovendien bent u een ordinaire haatzaaister. Niets meer dan dat. En waar u geen gelijk krijgt scheldt u mensen uit, vernedert u en doet u alsof u een Ubermensch bent met een absolute intelligentie. Wel, sta me toe om de zeggen dat ik er niet veel van zie. U bent op de koop toe absoluut geen democrate want dan zou u de reële toestand gewoon aanvaarden. Maar, uit haat en blinde woede tegenover mij kan u dat gewoon niet. Iklach metdergelijke schertsfiguren die eerder in een kolderopera dan in een spaghettiwestern thuishoren. Nog iets: uw vrienden Jean-Louis en Co zijn razend enthousiast over Quebec en enkele dorpen in de Jura. Wel, je moet eens de wetgeving van hun vrienden daarginds erop napluizen (soms zelfs op internet te vinden), je moet eens kijken hoe zij één enkele taal bevorderen en de nieuwe inwoners ertoe verplichten om die te gebruiken en zich te integreren. Daar zou u bij ons moord en brand over schreeuwen. Maar neen hoor, daarover zegt u niet als het toevallig vrienden zijn. Maar, bij ons hebben diezelfde vrienden zelfs taalfaciliteiten. En bestuurders niet. Daar hebben die zelf voor gekozen. Ze zijn immers niet verplicht om dit te gebruiken als ze geen raadslid willen zijn. De burgers hebben die rechten wel. Omdat ze vaak geen andere keuze hadden en hebben door de eenzijdige druk die ze moeten ondergaan van hun eigen leiders die van hen lijders maakten. Ik zou al die mensen willen helpen met hart en ziel. Niet voor de stemmen, wel om aan hun stille wens van meertaligheid tegemoet te komen. Blijf dus in Sittard strijden tot men u daar ook nog wat meer beu wordt. Want, volgens mensen die ik deze week ontmoette vinden ze u daar ook al humor met een grote H.

  18. Waar zijn jullie in godsnaam toch altijd maar mee bezig? Jullie geweeklaag, georchestreerd door mevrouw Mergelsberg, houdt maar niet op. En liefst dan ook nog eens grof uit de hoek komen.
    Nergens, maar dan ook nergens ter wereld bestaat er een beter beschermde minderheid dan de Franstalige Voerenaars, en dit zowel op politiek-juridisch vlak, als op sociaal vlak. Ik daag dan ook alle bloglezers uit om hier het tegendeel te komen bewijzen! Wat zit jullie frustratie toch diep ingebakken… Wees er jullie nu eens eindelijk bewust van dat jullie zelfs meer dan nodig flink in de watten worden gelegd in ons mooie Voeren!

  19. Monsieur le Bourgmestre,

    Ce n’est pas parce que l’on parle de la langue parlée par une majorité de personnes que celle-ci n’est pas menacée… Vous prenez peut-être la peine de servir le  » client  » francophone dans sa langue au sein de l’administration communale mais encore faut-il que ses intérêts ne soient pas en contradiction avec les intérêts d’un  » client  » néerlandophone (voir à ce sujet la vente des immeubles au SK Moelingen en 2001 ou l’arbitrage Colin-Banens plus tard dans la législature).

    Vous indiquez que la rupture entre le CD&V et la N-VA ne posera aucun problème au sein de Voerbelangen : pourquoi donc faut-il vous justifier à ce sujet sur votre site Internet si celle-ci n’a aucun objet avec le conseil communal fouronnais ?

    Medames, Mesdemoiselles, Messieurs les lecteurs de ce blog : le français est bel et bien menacé dans  » nos merveilleux Fourons « , comme un commentateur l’a si bien indiqué. La courtoisie de façade développée par Monsieur Broers & Comapgnie ne sert qu’à donner bonne conscience aux serviteurs des intérêts de Moeder Vlaanderen qui souhaite, via son Ministre-Président, que les facilités disparaissent du territoire flamand.

    Quelques exemples.

    – Convocations électorales uniquement en néerlandais, alors que les élections directes du Conseil de l’Aide Sociale tombent sous la tutelle de l’Etat Fédéral logiquement asexué au niveau linguistique (même si de wet is de wet, un Bourgmestre courtois aurait contourné la circulaire Keulen, comme en périphérie bruxelloise) ;

    – Zorgkas obligatoire pour les Francophones alors qu’il est pratiquement certain qu’ils n’en bénéficieront pas (un Fouronnais francophone préférera se faire soigner au plus près et dans sa langue, soit à Verviers, Visé, Liège etc. plutôt qu’à Tongres, Hasselt enz.) ;

    – un jeune apprenti francophone fouronnais ne pourra jamais travailler au sein d’une entreprise de son village, car il doit suivre ses cours au Limbourg ou ailleurs en Flandre ;

    etc. etc.

    Un Bourgmestre qui se dit courtois aurait déjà milité auprès des instances supérieures afin que son village devienne réellement un havre de paix linguistique. Alors, qu’on me dise de qui on se moque car si le français n’est pas menacé, qu’est-il donc en Flandre et à Fourons ?

  20. Non Monsieur Henen, l’emploi de votre langue n’est pas menacé ici à Fourons. Vous jouez un jeu que personne ne croit plus. Les Fouronnais me smeblent contents. Ils sont invités dans leur langue. Et je ne contournerai jamais ni loi, ni lettre, ni circulaire. Jamais, jamais, jamais. Ce que vous pensez de la loi est devenu clair maintenant. Elle ne vous convient pas? Vous vous opposez à Fourons. Et dans les villages et provinces que vous visitez (Jura et Québec) vous êtes d’accord avec le principe de la non-reconnaissance d’autres langues. Pourquoi? Parce que vous vous croyez supérieur aux autres et que vous ne supportez pas d’autres idées et langue sur votre territoire. J’en ai vu passer d’autres en histoire! Au lieu d’écrire (en campagne) que vous vous servez de plusieurs langues, vous auriez dû avoir le courage de dire que la langue de vos concitoyens néerlandphones ne figure pas entre ces langues. Faites tomber votre masque! Et ne trompez plus les gens. Dites ce que vous pensez de la langue néerlandaise. Et essayez de l’employer si vous êtes conséquent envers la majorité fouronnaise. Et ceci sans perdre la valeur de votre propre langue qui est devenue ma deuxième langue en esprit et dans mon coeur. Faites le même effort et on se parlera encore, p.e. en débat avec des témoins Fouronnais! Vous en néerlandais et moi en français. Je vous invite déjà. (n.b. j’ai suivi mes primaires dans l’école communale de Fouron-le-Comte, dans le temps en Province de Liège puisque j’ai terminé « mes études » en 1963. Notre enseignant était connu comme francophone, mais il ne m’apprenait pas le français par ce que la provincie de Liège ne le voulait pas. J’ai donc appris assez de français pour me débruiller en Flandre et de tout coeur!!!!)

  21. En 1974, le gouvernement libéral de Robert Bourassa fit du français la langue officielle du Québec. Cependant, cette déclaration ne transforma pas pour autant le Québec en province unilingue française. En effet, depuis la création du Canada en 1867, la Constitution assujettit le Québec à plusieurs obligations de bilinguisme : il doit adopter ses lois en français et en anglais et garantir l’usage de ces deux langues aux parlementaires, aux juges, aux plaideurs et aux parties à un procès. De plus, la Constitution garantit le maintien au Québec des écoles confessionnelles, catholiques et protestantes, régime qui a laissé aux Anglo-Québécois un assez grand contrôle de leurs écoles.

    Au Québec, les francophones forment une nette majorité, 82,1% et son visage français s’affirme maintenant dans tous les aspects de la vie sociale et économique. Les Québécois dont la langue maternelle est l’anglais composent 9,6% de la population; à ces derniers s’ajoutent les Québécois d’immigration récente, dont la langue maternelle est autre que le français ou l’anglais. La population anglophone réside principalement dans la région de Montréal, dont elle représente 19% de la population. Bien que les anglophones soient numériquement en minorité au Québec, ils jouissent d’un réseau très développé de services publics financés par le gouvernement du Québec, qui leur permet d’être éduqués et soignés en anglais. Jouissant d’écoles, de collèges, d’universités, d’hôpitaux, de stations de radio et de télévision, de théâtres et de cinémas qui leur sont propres, ils peuvent mener, si bon leur semble, leur existence en anglais, en particulier, à Montréal.

    L’article complet est à lire sur ce site:
    http://www.uni.ca/chevrier_f.html

  22. Définition de la langue principale : celle dans laquelle on pense et que l’on sait le mieux.

    Dans le Canton du Jura et en Suisse, la répartition des langues est la suivantes : français 90 % (CH : 20,4 %), allemand 4,4 % (CH : 63,7 %) et italien 1,8 % (CH : 6,5 %).

    Depuis le recensement de 1970, le français n’a pas cessé de progresser : il est passé de 82,1 % à 89,9 % en 2000, gagnant près de 2 point chaque année et presque 4 entre 1970 et 1980. Il est a relever que la progression du français a été supérieure à l’augmentation de la population.

    La langue allemande a connu une évolution contraire : elle a perdu du terrain d’une amplitude presque similaire, de l’ordre de deux points entre 1970 et 1990. Au cours de cette dernière décennie, le recul est nettement moins marqué et il est inférieur à un demi point. La population de langue allemande a donc reculé de 47,5 % entre 1970 et 2000 et est passée de 5’714 à 3’000 personnes. Mais une stabilisation est intervenue entre 1990 et 2000. Une
    analyse plus fine de la situation nous dira si la population de langue française maîtrise davantage la langue de Goethe que par le passé, pour notamment mieux répondre aux exigences du monde du travail.

    La langue italienne a aussi perdu beaucoup de terrain pendant la période considérée puisque le recul est de 73,1 % entre 1970 et 2000 (de 4’506 à 1’210 ou de 6,7 % à 1,8 % du total). Elle correspond bien à la forte diminution des travailleurs italiens, dont une grande partie sont rentrés au pays. A fin 2001 dans le Jura, la population de nationalité italienne reste toutefois la plus forte colonie avec 2’127 ressortissants (25,3 % de la population étrangère).

    Comme quatrième langue nationale, le romanche n’est que très peu représenté dans le Jura, avec 27 personnes. Les autres langues varient entre 2,7 et 4,9 %, avec un recul à 3,9 % en 2000.

    Je suppose que cette information permettra de mettre fin aux insinuations lues plus bas concernant une certaine intolérance linguistique au Québec et au Jura.

    Par ailleurs, je vous invite aussi à lire l’article « Le Jura, grand comme New York » sur cette page http://www.jura.ch/portal/site/acju/menuitem.825f048bde5d45568cf9a81089a16f1c/?vgnextoid=d21d07ddd7ac3010VgnVCM100000f118f6c1RCRD et à visiter le très beau site officiel du Jura: http://www.jura.ch

  23. Het is wel vreemd dat Frankrijk, belangrijk cultuurdrager van de Franse taal, het verdrag voor de bescherming van de taalkundige minderheden niet getekend heeft.
    39 van de 46 leden hebben getekend. Slechts 12 leden hebben geratificeerd.

  24. Monsieur Roger,
    Ce n’est pas parce que je lutte pour la promotion de la langue française et particulièrement sa défense là où elle est menacée comme ici, que je soutiens l’attitude de l’état français qui ne reconnaît que la langue française sur son territoire.
    Je suis aussi défenseur des langues régionales et il y en a plusieurs en France, du breton au provençal en passant par le corse, etc.

  25. Autres que certains hommes politiques, il y a des gens qui remercient ceux et celles qui font un travail difficile.

    Monsieur le bourgmestre

    C’est avec le plus grand plaisir que je prends ma plume pour vous écrire. J’aimerais attirer votre attention que vous comptez parmis votre personnel administratif une certaine « Suzy » (bedoeld wordt Sylvie). Elle m’a énormément aidé à trouver la meilleure solution pour le problème des défunts de ma famille qui reposent à Remersdael car la concession se terminera fin 2007.

    Pourriez-vous, Monsieur le bourgmestre la remercier personnellement en mon nom, car elle a été d’une gentillesse, d’une bonne volonté et d’un acceuil exemplaire. J’en ai été touché. Vous comptez dans vos bureaux une femme de grande classe et d’une grande compétence.

  26. Voor één keer ben ik het helemaal met u, burgemeester Broers, en met de schrijver van de brief eens. Ze maakt inderdaad een moeilijk werk correct en zeer professioneel waar en wel op een natuurlijke en oprechte wijze. Chapeau!
    Ook kan ik het alleen maar toejuichen dat u haar op een gepast moment eens echt in het zonnetje zet want wat zij kan en doet, kan echt niet iedereen.
    Een Koninklijke Onderscheiding zou hier inderdaad op zijn plaats zijn maar deze worden voor zover ik weet alleen uitgereikt aan mensen die een bijzonder werk op vrijwillige basis doen. Maar misschien wil de Koning voor Voeren wel een uitzondering maken…

  27. Monsieur le Bourgmestre,
    Enfin, vous reconnaissez les mérites de Sylvie!
    Je n’ai jamais douté de la qualité de son travail et de ses capacités.
    Elle a été promue grâce à un recours introduit par Benoît Houbiers auprès du Gouverneur du Limbourg contre une décision de votre majorité VBL. Cette vérité méritait aussi sans doute d’être rappelée.
    Un citoyen rémersdaelois content des services de Sylvie? Ce n’est certainement pas une exception puisque Sylvie fait bien son travail, mais je serais curieux de connaître le nombre de lettres du même genre en français que vous recevez pour toutes les autres nouvelles employées de votre administration?
    Je ne suis pas contre le renouvellement des concessions (puisque j’ai voté cela aussi dans le temps, avec Victor Renkens…), mais vous interprétez mal ce qui a été voté et votre administration financière doit ouvrir ses archives pour voir ce que les gens ont payé précédemment.

  28. C’est quand même là qu’on voit que Monsieur Broers aime se gausser à tort et à travers de ses  » réalisations  » : le fait qu’une employée communale travaille bien n’est pas l’apanage d’un bourgmestre et de ses échevins, mais bien de la compétence pointue d’une personne qui fait preuve d’une volonté et d’un zèle qui contrastent à merveille avec la mentalité de ses supérieurs. A méditer, Herr Broers…

  29. Zodus: Silvie Liebens werd in staat gesteld door de Gouverneur van Limburg (Steve Stevaert, SP.a) als gevolg van een tussenkomst van Benoit Houbiers, om haar – zelfs door de Burgemeester op dit moment -gerespecteerd werk verder te doen, nadat VBL besloten had, haar die mogelijkheid te ontnemen.

    Ik schreef hieronder « gepast moment om haar in het zonnetje te zetten » als een stijlvorm, n.l. de ironie. Het was geenszins gepast om het antwoord van JL Xhonneux aan ‘Roger’ op een dergelijk onnozele wijze te willen over-rulen.

    JL Xhonneuw vertelde dat de AIDLCM niet alleen opkomt voor minderheden die de Franse taal spreken, maar ook voor anderstalige minderheden.
    Ik voeg daaraan toe: ook de Vlaamse minderheden in de Rand betreft deze resolutie. Alleen hebben zij geen last van Rondzendbrieven omdat decreten richtlijnen zijn en geen wetten, meneer Broers.

    Want onlangs kon ik toch via de VRT vernemen dat carrousellen waarop men dode duiven vastbindt, om levende duiven te lokken, in Vlaanderen bij decreet verboden zijn. Maar de Vlaamse jagers, die leven dat decreet niet na omdat een decreet naar hun zeggen geen wet is. Bij mijn weten zijn die jagers niet bestraft, alhoewel ik die praktijk an sich natuurlijk verfoeilijk vind.

    Deze praktijk leert ons wel definitief dat U, Huub Broers, de Rondzendbrieven niet hoeft toe te passen als u dat niet wil.

  30. Comment est-ce possible? Benoit Houbiers aurait fait tout pour notre très bonne collaboratrice. Qoui alors? C’est une majorité qui a depuis 2001 ouvert le dossier statutaire du personnel et qui donne à nos collaborarices les possibilités qu’elles ont maintenant. Certainement pas Benoit Houbiers! Et concernant Sylvie: pour moi, c’est une toute grande dame dans son travail et dès le premier jour de mon arrivée au mayorat je lui ai dit que je connaissais bien son opinion politique, mais que ceci ne causerait aucun problème de coopération. Après six ans, j’ai encore le même sentiment, mais avec encore plus d’ouverture.

  31. Le bourgmestre oublie la décision de son conseil communal du 23 janvier 2003 qui prévoyait de recruter un rédacteur sans donner la possibilité à une employée de faire promotion.
    Le 19 juin 2003, le conseil communal a pris connaissance d’une lettre du gouverneur qui l’invitait à retirer la décision du 23 janvier 2003.
    Il a fallu attendre le 12 février 2004 pour que la majorité VBL retire enfin sa décision du 23 janvier 2003 et Sylvie a pu être promue.
    Mais j’accorde le bénéfice du doute au bourgmestre car on peut toujours oublier ses bonnes actions, mais il n’aurait pas dû oublier sa décision du 23 janvier 2003 dont le but évident était de barrer la route de Sylvie. Faut-il rappeler que Walpot l’a même dit au conseil communal? Faudrait-il dire « aboyé » peut-être, car comme la vieille marque de radio-TV, Walpot est « His Master’s Voice » avec un chien sur le logo?

  32. Non JL, je ne l’ai pas. Je savais ce que je faisais et j’ai toujours apprécié le travail de Sylvie. Mais, la méthode Retour de laisser le personnel sans augmentation salériale et sans statut pendant des années n’était certainement pas la bonne. Vous saviez que j’étais en train de préparer un grand dossier, aussi pour les dames qui travaillaient déjà à la commune, et vite vite – en oubliant les manques de votre passé – vous faisiez une proposition pour essayer de nous mettre dans le petit coin. Et pourtant, pourqoui ne pas avoir fait tout ceci pendant les 40 années de votre régime???

  33. Oui, Messieurs, je reçois beaucoup de compliments pour notre personnel administratif. Lisez encore une foix l’enquête faite à Fourons par un journal flamand. Mais je suis content que vos masques tombent en attaquant les autres dames. Et bien monsieur Henen, je ne suis pas le personnel, c’est vrai. Mais, je suis là chaque jour pour mon personnel. Pas comme avant on on ne voyait presque jamais son bourgmestre. Je suis là pour les aider quand il y a des problèmes et je n’ai certainement pas la prétention de croire que c’est dû à moi seul. Mais, j’y suis et j’y reste avec le grand soutien des Fouronnais (merci à tous).

  34. Oui, Monsieur le Bourgmestre, je l’affirme encore haut et fort : vous avez toujours l’art de ramener les choses à votre personne. Je le répète aussi : votre personnel (en tous cas, certaines employées communales) n’a pas besoin de vous pour travailler comme il se doit vis-à-vis du Fouronnais.

    En ce qui concerne l’émission de la RTBF, je ne l’ai point vue : je me trouvais à Eupen où ce fut également l’effervescence non jubilatoire à la fameuse annonce. Celle-ci aura au moins un mérite – même si je suis beaucoup moins d’accord sur la forme de présentation : la Wallonie aura au moins pu constater un bout de la vie parfois infernale des Francophones de Fourons. Je maintiens une nouvelle fois que la Zorgkas, pour prendre l’exemple qui me dégoûte le plus, est une brimade illégale concernant spécialement les Francophones de Fourons et de la périphérie bruxelloise. Mais bien sûr, quand je vous relis,  » Bien sûr, je suis un légaliste et je suis ce que mon Ministre-Président me dit ! « , il est évident qu’au lieu de vous soucier des soucis de vos citoyens et tenter d’intervenir en leur faveur dans ce dossier anti-social et anti-européen, vous préférez gagner les faveurs de Leterme, Keulen, Bourgeois and Co.

    Au nom de tous les Fouronnais ayant reçu les amendes découlant de cette sombre assurance complémentaire, je vous dis merci pour votre inertie et votre fidélité à Moeder Vlaanderen.

  35. Zoals u zich manifesteert, Mr Henen, bent u in mijn ogen het typevoorbeeld van de « Waal », waarmee wij in dit land moeten samenleven.
    Ik mag aannemen dat u wel degelijk wist, toen u de vrije keuze maakte om (enkele kilometers verderop) in Vlaanderen te komen wonen, dat u inwoner bent geworden van een andere deelstaat dan degene waarin u bent opgegroeid. Ondanks het feit dat u dit zeker wist, blijft u zich als een woelwater te pas en te onpas uiten, en blijft u aan al wie horen wil dat u in uw leven als « Waal » gruwelijk wordt gehinderd. Over « enige moeite doen om u een beetje aan te passen aan uw nieuwe sociologische omgeving », horen we van u geen woord! Zou u ook zo te keer gaan, als u was gaan wonen waar u tewerkgesteld bent, m.n. in Nederland?
    Telkens komt u terug op het element van de « Zorgkas », alsof hiermee u ons kan overtuigen dat uw leven als Franstalige « infernal » is in Voeren. Of een oproepingsbrief die in het Nederlands is opgesteld. Iets wat jullie rechten zo aantast, dat jullie er kotsmisselijk van worden.
    Wij Vlamingen kunnen hierover enkel maar meewarig schudden met het hoofd… Ik verwijs maar even terug naar de Brusselse en Vlaams-Brabantse patiënten, die niet eens in hun eigen taal door de dokter kunnen worden aangesproken. Dàt zijn schendingen van een totaal andere orde, wat in Franstalig België minachtend wordt afgedaan als praat van extremisten. We komen hier wel degelijk tot het punt, hoor! Hou uw gebalk voor u, en zorg er eerst voor dat de meest FUNDAMENTELE rechten van onze medeburgers niet meer worden geschaad, voor je u met dingen van een mindere orde bezig houdt.
    Bent u er zich eigenlijk wel een beetje van bewust, onder welke moeilijke omstandigheden Vlamingen in Brussel én onze eigen periferie moeten « over »leven dagdagelijks????? Het zou u al wat meer sieren hier een greintje openheid voor te tonen. Dan zou je fanatiek-egoïstisch aureool wat minder schitteren!
    Je bent nog jong genoeg om ooit je ogen eens te openen.

  36. Monsieur (ou Madame ou Mademoiselle) Orlando (après tout, un pseudonyme, à défaut de révéler une identité exacte, ne renseigne pas le sexe de la personne à qui l’on parle),

    Je m’estime mûr assez que pour pouvoir répondre à vos affirmations qui me confortent dans l’idée que vous-même correspondez également au cliché du  » Flamand  » avec lequel nous devrons éternellement composer tant que la Belgique existera.

    Oui, j’ai fait le choix un jour d’habiter à Fourons où j’y entretiens depuis longtemps déjà un réseau de connaissances et d’amis incomparables. Voilà une des raisons principales qui a rendu mon déménagement à Rémersdael possible.

    De là à dire que Fourons se situe en Flandre… Les meilleures cartes de Belgique n’arrivent pas encore à lui créer une frontière commune avec le Limbourg, n’est-il pas ? Quant à cette histoire d’Etat fédéré, sachez que la Flandre n’est pas encore un Etat (bien que la RTBF l’entrevoit à sa façon) mais bien une Région ou une Communauté et que Fourons reste encore, depuis plus de quarante ans, une commune de la frontière linguistique à statut spécial, donc, munie d’une population dite  » minoritaire  » qui se doit d’être respectée.

    Il y a fort peu de chances que mon employeur m’envoie aux Pays-Bas pour y travailler mais toutefois, il m’arrive d’y rendre l’un ou l’autre service en tant que  » freelance « . Et, fait terrible pour votre plaidoyer, la plupart des personnes engagées à mon instar sont francophones et même wallonnes ! Mieux encore : sachez que, là-bas, la langue dominante est soit l’allemand, soit le Jömmelecher Plat (patois de Gemmenich ou, in extenso, la référence pour les Trois Frontières – dont Fourons fait partie et non de la Hesbaye ! – puisque ce dialecte précis est le seul à bénéficier d’une didactique via un dictionnaire qui fait autorité).

    Sachez, Monsieur (Madame ou Mademoiselle)Orlando, que je ne suis pas plus partisan de l’usage unilingue du français à Bruxelles et sa périphérie, que ce soit dans les hôpitaux voire à d’autres niveaux. Peut-on dire qu’à Fourons, le français et ses adeptes sont respectés comme il se doit ? Permettez-moi d’en douter. Il suffit d’aller faire un tour au V.V.V. pour s’en rendre compte…

    Pour faire une simple comparaison, je ne pense sincèrement pas que je serai mieux reçu dans une clinique à Tongres qu’un néerlandophone de Rhode-Saint-Genèse à Bruxelles, notamment en cas d’urgence, car, même avec Fernando Alonso au volant de l’ambulance, je pense me retrouver plus vite à Visé ou Verviers voire même à Eupen ou Liège que n’importe où ailleurs en Flandre. Vous saisissez la nuance ?

    Le document-fiction de la RTBF a démontré bien des choses aux yeux de nos frères wallons et bruxellois, même si je suis très douteux sur la forme de présentation qui aurait pu provoquer bien plus de dégâts que cela.

    Monsieur (Madame ou Mademoiselle), j’ignore qui vous êtes et quel est votre âge.

    Cependant, il n’y a pas d’âge pour comprendre la politique appliquée au Nord de notre pays : la dernière proposition de loi visant à supprimer toute appellation française des noms de communes sur le territoire flamand en est un des plus beaux exemples. Si celle-ci ne vise pas les habitants des communes comme les nôtres, à qui est-elle donc destinée ?

    Il n’y a même aucun besoin de répondre à cette question : la réponse est déjà citée.

    Mais j’entends déjà les ébats pleurnichards de Monsieur Broers : Monsieur Henen n’est pas un vrai Fouronnais (qu’est-ce qu’il veut, cet importé-là ?), la Loi est la Loi et je n’y peux rien (même si c’est au détriment de bon nombre de mes administrés dont je me considère pourtant comme le Bourgmestre au même titre que les autres), pourtant je travaille 20 heures sur 24 (pendant lesquelles je n’ai jamais trouvé le temps d’écrire à la tutelle afin de lui expliquer les soucis de mes concitoyens).

    Il n’y a pas si longtemps, j’avais conclu que la campagne de Voerbelangen était en fait un rébus qui pourrait être celui-ci :  » 2007-2012 – Open Voeren : doorwerken aan spelregels zonder vrijheid, ook voor onze kinderen !  »

    Aujourd’hui, j’en suis de plus en plus convaincu…

  37. (Ober)Herr Henen, u bent een virtuoos in het VORM geven aan uw gedachten (mooi en rijkelijk Frans), maar niet in het INHOUD geven eraan.
    Het is alsof u de inhoud laat verdrinken in de overvloed aan woorden.

    Zo komen we echt niet to the point! Spijtig…

    Het versterkt alleen mijn indruk dat u eigenlijk geen poot hebt om op te staan.

  38. Cher (chère) Orlando,

    Vous me reprochez d’écrire sans contenu. Toutefois, à la lecture de la suite de ce commentaire, vous remarquerez que je ne suis vraiment pas le seul…

    Un contenu est facile à développer. La preuve via l’histoire de la Zorgverzekering :

    Au vu du choc démographique actuel augurant le vieillissement progressif de la population et en vue de couvrir un risque accru de dépendance physique et/ou psychologique découlant dudit phénomène, le Gouvernement Flamand a instauré, à partir du 1er octobre 2001 via un décret promulgué le 30 mars 1999, un régime d’assurance-dépendance (en néerlandais « Zorgverzekering ») basé sur le principe de solidarité : on paie pour son bien-être et pour le bien-être de tous.

    Cette assurance prend en charge toute une série de prestations non médicales, soit pour permettre à la personne dépendante de rester à domicile avec l’assistance de ses proches et/ou de professionnels ou en couvrant partiellement les frais de séjour en institution.

    Tout résident flamand doit y cotiser sans exception à partir de ses 25 ans. Les habitants de la Région de Bruxelles-Capitale peuvent, eux, y adhérer facultativement. Le montant de cette cotisation annuelle s’élève à 25 € et à 10 € pour les personnes bénéficiant de l’intervention majorée.

    S’ils n’y souscrivent pas volontairement, ils seront d’office affiliés à la « Vlaamse Zorgkas » (Fonds Flamand d’Assurance-Soins, organe d’intérêt public doté de la personnalité morale organisé par le Gouvernement Flamand), et seront mis en demeure de régler leur cotisation, cette opération étant d’ailleurs en cours : en cas de non-paiement au 31 décembre 2005, des amendes administratives allant jusqu’à un montant de 250 € ont d’ailleurs été réclamées.

    Trois points de ce décret ne peuvent toutefois qu’interpeller. Pour pouvoir bénéficier de cette assurance, il faut :

    1) habiter en Flandre ou en Région bruxelloise de manière ininterrompue depuis au moins 5 ans précédant la prise en charge ;

    2) s’affilier auprès d’une « Zorgkas » agréée par la Communauté flamande, et par conséquent, dénuée de garantie concernant la gestion linguistique de son dossier. Renseignements pris, hormis la Mutualité Socialiste qui choisit le compromis en postant des envois bilingues et la Mutualité Libre de Liège qui respecte scrupuleusement un avis de la Commission Permanente de Contrôle linguistique, aucune autre des caisses d’assurance-soins concernées, mutualistes et autres, ne transmettrait de document en langue française, suivant les prérogatives des Circulaires Peeters, Keulen et compagnie ;

    3) que l’assistance ad hoc soit prestée par une structure agréée par la Communauté flamande, qu’il s’agisse des services d’aide à domicile, des centres de court séjour, des centres de soins de jour, des services de garde-malade ou encore des maisons de repos.

    Même si ce système flamand correspond à un besoin social important, il crée cependant une énième séparation (terme à la mode) dans le système solidaire de sécurité sociale qui fait la fierté de notre pays, en lequel d’autres y voient un modèle.

    Si les deux premiers points précédemment cités doivent plus vite se référer à la ratification de la Convention-cadre pour la protection des minorités nationales du Conseil de l’Europe, ouverte à la signature le 1er février 1995 et signée depuis par 27 Etats membres sur 34 (dont la Belgique ne fait malheureusement pas encore partie), le troisième point est celui sur lequel je désirerais m’attarder.

    Ce troisième point, et ceci est important à souligner, va à l’encontre de l’esprit européen qui autorise le citoyen voyageant dans l’Union Européenne, dont la Région Flamande fait partie, à user de son droit aux prestations pour lesquelles celui-ci a cotisé. Tout en soulignant le fait que si les personnes dites dépendantes éprouvent déjà les pires difficultés à s’exprimer dans leur langue maternelle, on peut s’imaginer les problèmes auxquels s’exposent les francophones en souscrivant à cette assurance.

    Vu que la commune de Fourons appartient administrativement au territoire de la Province du Limbourg mais que, géographiquement, elle se situe en terre liégeoise, les établissements et les services les plus proches se situent pour la grande majorité en Province de Liège et, en ce qui concerne les francophones citoyens fouronnais, leur choix se porte naturellement sur des institutions wallonnes, du fait qu’on y parle leur langue. En ce qui concerne la Région Bruxelloise, l’offre de services d’aide aux personnes relevant de la Communauté flamande y est quasi inexistante, selon des sources bien informées.

    Alors, Monsieur (ou Madame ou Mademoiselle) Orlando, pourriez-vous me dire ce qu’il y a comme avantage à cet abonnement stupide ?

    Oui, les Belges (et surtout les Flamands) vieillissent : tous les experts s’accordent pour le dire…

    Même les néerlandophones, en cas d’urgence, préfèreraient pouvoir bénéficier de cet avantage en Wallonie, si Mère Flandre l’acceptait.

    Mais non, bien sûr, car on n’y parle pas néerlandais !!! Un Fouronnais, qu’il soit adepte de la Langue de Voltaire ou de Vondel, s’il est accidenté à La-Roche-en-Ardenne et nécessite des soins urgents, ne va pas demander son transfert à Tongres, naturellement !

    Ainsi, si le FOND (le CONTENU) de l’affaire était bon au départ, la forme de ce décret n’en va pas autant dès que l’on parle de langue, nietwaar ???

    Demandez donc au Grand Manitou de la Route de Warsage ce qu’il en pense, car je doute fort qu’il puisse vous en donner, du contenu, à part  » Ik maak wat de wetgever voorschrijft ! « . Si on ne savait pas comment l’appeler, notre brave Huubke, on l’appellerait Calimero :  » C’est vraiment trop injuste…  »

  39. U werpt zich blijkbaar zeer graag op als de « specialist in de Vlaamse Zorgverzekering », Herr Henen. Eerst vinden we een hele uiteenzetting hierover op uw persoonlijke blog, dan komt u aan het woord in jullie « bulletin de combat » Le Foron, en nu weer heel de tekst op deze blog.
    De hele regelgeving van de Zorgverzekering komt u niet heel eerlijk over, hé Calimero??
    Als specialist maakt u toch een aantal inschattingsfouten in uw enthousiasme. (Zoals gezegd, u bent nog jong, kan dus nog veel leren)

    De Vlaamse Zorgverzekering heeft niets van doen met de dringende medische hulpverlening. Het voorbeeld dat u aanhaalt van La Roche-en-Ardenne illustreert dat u niet goed begrijpt wat « bijstand aan hulpbehoevenden » of « welzijn » betekent.

    Wat bijvoorbeeld wel onder de Zorgverzekering valt, is een tegemoetkoming voor familieleden die een hulpbehoevende ouder in huis nemen, e.d. of men nu Nederlands- dan wel Franstalig is. Waar ziet u een element van discriminatie?
    Het Woon- en Zorgcentrum H. Familie staat zoals u weet open voor iedereen, ook Franstaligen (zelfs uit het Luikse).
    Verder biedt Voeren zelf alle voorzieningen aan om hulpbehoeftigen te ondersteunen.

    Nog graag even enkele andere bemerkingen, en dan laat ik het hierbij:

    *Naast Baarle-Hertog, behoort Voeren tot de 2 enclaves die de deelstaat Vlaanderen kent. Wallonië heeft 1 enclave, Komen-Waasten, en is geografisch verder gesitueerd van haar moederland dan Voeren dat is. Inwoners van Ploegsteert moeten zich één uur verplaatsen om in Doornik te geraken.

    *Fernando Alonso heeft totaal niets te maken met de schandalige taaltoestanden die er heersen in Brusselse ziekenhuizen met betrekking tot Vlaamse patiënten. De relatie arts-patiënt ondergeschikt maken aan de snelheid van een ziekenwagen, bewijst dat u niets begrijpt van een uiterst delicate toestand als ziekte. We zitten hier op het punt van de FUNDAMENTELE rechten van de mens (hé mw. Mergelsberg)!! Als u al weet dat uw kompaan Jean-Louis naar het Vast Komitee voor Taaltoezicht is getrokken om aan te klagen dat de buschauffeur van « De Lijn » niet perfect tweetalig was, dan zegt dit toch genoeg hoe jullie de Calimero uithangen…
    Ik weet uit goed ingelichte bron dat Franstaligen uit Komen-Waasten graag zich in het Jan Ypermanziekenhuis in Ieper laten behandelen, niet alleen wegens de exelente medische zorg, maar ook wegens de perfecte opvang in een sfeer van oprechte taalhoffelijkheid. Kunnen we dit ook zeggen van het ziekenhuis van Hermalle t.a.v. mogelijke Vlaamse patiënten??? Ik heb hier het antwoord mee gegeven.

    *U spot graag met de mensen die u niet apprecieert. Is dit vanuit een minderwaardigheidscomplex ingegeven, Calimero Henen?

    *Zo spot u ook graag met de financiële solidariteit die Vlaanderen onderhoudt met haar armere buur Wallonië. Elk maand betaalt iedere Vlaming €40 voor die solidariteit! Dat betekent op jaarbasis voor mijn gezin het equivalent van een kleine auto. Dit in verhouding tot de €25 per JAAR die u als Franstalige met pijn in het hart betaalt voor de Zorgverzekering. (Waar is de Waalse Zorgverzekering??)
    Solidariteit is voor Vlamingen een heilig goed, als het maar verantwoord is en transparant (dus zonder misbruiken).

    Een meegevertje:
    Op de lijst met de ziekenhuizen waar de meeste testen worden uitgevoerd per pathologiebeeld, staan bovenaan liefst 24 Waalse en Brusselse ziekenhuizen. Pas op nummer 25 vinden we het eerste Vlaamse ziekenhuis. Omgekeerd liggen de 35 ziekenhuizen waar het zuinigst met medische tests wordt omgesprongen, allemaal in Vlaanderen.

  40. Zoals u zich manifesteert, Meneer (of Mevrouw of Juffrouw) Orlando, bent u in mijn ogen het typevoorbeeld van de  » Vlaming « , waarmee wij in dit land moeten samenleven.

    Vos considérations ne peuvent amener qu’à ce genre de conclusion… Case closed, als de andere Standardman het zo goed zegt.

  41. Ho maar, wacht ‘ns even: zegt u nu dat u als Walen in dit land met Vlamingen moét samenleven? Ik begrijp toch dat Vlamingen dit niet van Walen eisen…

  42. Cher (chère) Orlando,

    Je reconnais avoir fait une erreur monumentale car, en effet, la Zorgverzekering n’intervient pas dans l’aide médicale urgente : il s’agissait d’un élan un peu trop hâtif. Oui, c’est vrai, je dois encore apprendre, mais j’apprends vite : c’est peut-être ça le problème…

    Toutefois, soyons clairs. Vous me posez la question : où voyez-vous une discrimination ? Tout simplement dans le fait que si les prestations mentionnées ne sont pas effectuées par un organe agréé par la Communauté Flamande, l’assurance n’a pas d’effet…

    Car agréé signifie parlant le néerlandais et ne trouvez pas d’autre argument contradictoire : personne n’a entendu parler d’organes agréés en terre wallonne, donc francophone.

    Prenons l’exemple de la Croix Jaune et Blanche : est-il possible de pouvoir bénéficier de l’ASD (Aide et Soins à Domicile) de Verviers ? Non, il faudra s’adresser à la division de Riemst de la Wit Gele Kruis Vlaanderen parce que, là aussi, le fédéralisme a fait son effet. Et donc, ASD = non agréé !!!

    Or, le Fouronnais FRANCOPHONE parle le français et a droit à ce que l’on s’adresse dans sa langue. Ou doit-on, comme pour le Wooncode, s’adapter ou partir ?

    Poser la question, c’est déjà un peu y répondre, non ?

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