La Coalition des francophones de Flandre entend faire reconnaître les siens comme une minorité nationale. Ce qu’elle n’a toujours pas réussi à faire… surtout parce que la Flandre refuse obstinément de ratifier la convention-cadre sur les minorités nationales. C’est donc avec un certain étonnement qu’ils ont pris connaissance de déclarations prononcées lors du coup d’envoi de la campagne belge pour siéger au conseil de sécurité de l’Onu (lire ci-contre). Etonnement lorsque Didier Reynders prétend à l’Onu que « les premières priorités du Royaume sont le respect et la promotion des droits de l’homme ». Etonnement encore quand la reine Mathilde met en avant « la lutte contre les discriminations ». « Il faut rappeler », précise Edgar Fonck, cheville-ouvrière de la coordination, que « la Belgique n’a toujours pas ratifié le protocole 12 visant à lutter contre toute forme de discrimination; qu’elle ne s’est toujours pas dotée d’un Institut national des droits de l’homme et qu’elle n’a toujours pas ratifié la convention-cadre pour la protection des minorités nationales ».
(Dans « La Libre Belgique » du 13 juillet 2016)
Qu’on commence d’abord dans les communes à facilités wallonnes où les droits des flamands n’existent preque plus!!! Ils ne font même pas l’effort de traduire leurs avis à la population (voir site internet).
Qu’on commence d’abord dans les communes à facilités wallonnes où les droits des flamands n’existent plus!!! Ils ne font même pas l’effort de traduire leurs avis à la population (voir site internet).