Une brimade de plus = Nog een pesterij !!!

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Le ministre M. Keulen répète (dans trois circulaires publiées le 26 juillet 2006) que les convocations pour les élections doivent être envoyées obligatoirement en néerlandais. Et il se base sur un arrêt du conseil d’état (flamand, évidemment) du 23 décembre 2004.

Bizarre, les arrêts du conseil d’état du 23 décembre 2004 ne concernent pas Fourons, mais les légistes flamands et les chambres flamandes du conseil d’état prétendent tirer un régime juridique complet, consacrant peu à peu l’unilinguisme le plus absolu, de l’article 4 de la Constitution, en méconnaissant d’autres dispositions consititutionnelles et légales également respectables, en particulier l’article 129, § 2, qui exclut des la compétence des Communautés l’emploi des langues dans les communes à statut spécial et qui « bétonne », depuis 1988, leur régime linguistique.

C’est la légitimité même du Conseil d’Etat qu’il faut remettre en cause; cette juridiction dysfonctionne à répétition.
En effet, c’est un étrange état que celui qui assigne au plaignant son adversaire comme juge: où est le droit à un procès équitable devant un tribunal impartial? Pourtant les lois coordonnées sur le Conseil d’Etat permettent à son premier président, sur l’avis du conseiller rapporteur ou de l’auditeur général, de confier l’examen des affaires qui mettent en cause l’unité de la jurisprudence à l’assemblée générale, linguistiquement paritaire: cela ne s’est plus produit depuis vingt ans quand il s’agit des droits des Francophones! (Et cela conduirait probablement à l’implosion du Conseil d’Etat).
Sous le IIIe Reich, les juges foulaient aux pieds les lois écrites et les principes généraux du droit au nom de l’idéologie; les lois étaient modifiées ou supprimées du jour au lendemain par des simples circulaires ou des avis publiés dans la presse. Toutes proportions gardées, le gouvernement flamand, qui modifie la loi par des circulaires, et les chambres flamandes du Conseil d’Etat, qui créent un droit nouveau de toutes pièces au nom des intérêts de la nation flamande, se comportent-ils vraiment différemment? La Flandre, gangrenée par la fascisation ordinaire, a-t-elle encore besoin d’un parti ouvertement fasciste?
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Telle est la question que le RWF posait très justement en conclusion à son dossier sur les arrêts du 23 décembre 2004 du Conseil d’Etat refusant d’annuler les circulaires Peeters et Martens.

Retour aux Libertés souhaite une campagne digne et propre

Dans un tract distribué il y a quelques jours, VOERBELANGEN accuse RETOUR AUX LIBERTES d’avoir organisé une NUIT DE BARBOUILLAGE, en écrivant « j’appelle aussi les politiciens et leaders de l’autre parti à mettre fin à ces choses« .

 
Réunis hier soir, les membres de RETOUR AUX LIBERTES ont exprimé leur souhait unanime d’une campagne digne et d’un affichage propre. Ils ne réagiront donc pas davantage à cette initiative qu’ils prennent pour une provocation organisée par des partisans de la branche dure flamande.
Ils ont chargé José Smeets de signer un accord avec Huub Broers pour que les deux partis s’engagent fermement à mener campagne dans la dignité et en respectant la propreté et la propriété publiques.

 

Ouverture réelle

Contrairement à mon bourgmestre qui la prêche, mais ne la pratique pas, je suis pour l’ouverture et je la pratique. Je publie donc sur ce site un article en néerlandais qui s’adresse plus particulièrement à nos concitoyens néerlandais.

NEDERBELGEN.

 

De Limburgse gedeputeerden Sleypen (SP.a) en Eurlings (CDA) vinden dat de Nederlanders, die in België wonen, meer gebruik moeten maken van hun recht om te stemmen voor de Belgische gemeenteraadsverkiezingen in oktober. Ik ben het natuurlijk met hen eens maar in de kwestie Voeren wil ik de Nederlanders toch nog eens op het hart drukken dat ze zich goed moeten informeren over wat ze daar eigenlijk aan het doen zijn.

 

De lokale verkiezingen in 2000 hebben aangetoond dat de machtswissel in het voordeel van de Vlaamse partij Voerbelangen te danken was aan de 20% Nederlanders die voor het eerst mocht meestemmen. Voor de OCMW-raad mochten de Nederlanders niet meestemmen en in dit bestuur bleef de meerderheid als voorheen in handen van de Franstaligen.

Dit politieke signaal is door de Belgische overheid goed begrepen en in 2002 werd het Europese Raamverdrag ter bescherming van minderheden en talen ondertekend. Vlaanderen echter, weigert – onder druk van het extreem-rechtse Vlaams Belang dat een kwart van de stemmen heeft – dit verdrag te ratificeren, waardoor het niet uitgevoerd kan worden en de Franstaligen in Voeren niet tot hun recht komen.

 

Ter verduidelijking, een vergelijking met de Nederlandse situatie. Het Fries is in Nederland door dit verdrag beschermd. Het Fries is in Friesland, naast het Nederlands, ook bestuurstaal.

De Franstalige gemeenteraadsleden moeten in Voeren tijdens de gemeenteraad het Nederlands gebruiken en wanneer ze dat niet kunnen is er formeel niets gezegd. En dàt in een gemeente waar de Franstaligen onder de 40 jaar, die ook in dit dorp geboren en getogen zijn, op wat uitzonderingen na ééntalig Franstalig zijn.

Sinds jaar en dag kunnen Voerenaren de taal in de rechtspraak, en daaraan vastgekoppeld de plaatsen Verviers of Tongeren, zelf kiezen. Na lezing van « Rechtszekerheid voor de anderstalige rechtszoekende » door Vanden Bosch, zou ik daar zeker nooit vanaf willen stappen.

De Franstaligen in Voeren krijgen als gevolg van het regionaliseren van de gemeentewet, sinds 2003 een Nederlandstalige oproep om te gaan stemmen, met alle nefaste gevolgen voor o.m. het vertrouwen in de politiek vandien.

 

Het argument van Sleypen om te gaan stemmen, n.l. dat je dan als Nederlander in België de programma’s van de regionale TV-zenders via de kabel kunt bekijken, is onnozel en schromelijk achterhaald. We kennen tegenwoordig satelietverbindingen, schotels, het internet, de wikipedia’s en vooral kranten, meneer Sleypen. Iedereen kan zich vrij informeren.

Om ons te informeren hebben wij de democratie dus niet meer nodig, maar voor een fatsoenlijk statuut voor de Franstalige autochtone meerderheid van de bevolking in Voeren blijkbaar wel.

 

In de beschermde beslotenheid van het stemhokje is iedereen, overal en altijd persoonlijk verantwoordelijk voor zijn keuze. Ook in Voeren.

 

Bep Mergelsberg,

Secretaris Partij van de Arbeid, afdeling Sittard-Geleen.

Qui a loué le dynamisme des mandataires RAL?

Voici un extrait d’une lettre reçue récemment:

 

« Aujourd’hui, les télécommunications occupent une place capitale dans notre vie quotidienne. Le souci d’être informé, de parcouir le monde, de se divertir, de vivre des grands événements sportifs… tout cela est devenu possible en temps réel grâce à la télévision, en particulier grâce à la variété des programmes qu’offre la télédistribution, et depuis peu, grâce à internet.

« Fourons a toujours été très dynamique en la matière puisque, depuis de nombreuses années, la commune est équipée d’un réseau de télédistribution.

« Pour rester à la pointe de la technologie, Intermosane met en oeuvre un vaste plan de rénovation du réseau de télédistribution. »

 

Qui a écrit ce texte? Facile! Intermosane.

 

Mais plus étonnant, qui l’a signé? Il y a trois signataires: D. d’Oultremont, président du Comité Télédistribution, et J.M. Raxhon, Président d’Intermosane. Et qui est le troisième? H. Broers, Bourgmestre de la commune de Fourons!

Lui qui a toujours prétendu que tout ce que les administrateurs communaux des Fourons avaient fait avant lui était mauvais. Voilà qu’il reconnaît enfin leur dynamisme.