Walpot bourgmestre?

Le journal « Het Nieuwsblad » annonce aujourd’hui que des rumeurs circulent dans la commune concernant un changement à la tête de la majorité Voerbelangen. Des informations ont même été données à ce sujet au cours du conseil communal du 30 décembre par le bourgmestre lui-même quand il a parlé du nouveau statut du personnel communal et du mandat de conseiller qu’il pourrait occuper.

A ce même conseil communal du 30 décembre, on a vu Walpot prendre place à la table du collège… Est-ce que cela confirmerait la rumeur?

13 réflexions sur « Walpot bourgmestre? »

  1. Rara pour vous! On a un an pour en décider! Et nous savons déjà ce qu’il en est. J’ai pris ma personne comme exemple, oui, c’est vrai. Ca pourrait être une possibilité. Imaginez! Huub Broers comme conseiller du collège et de son dauphin. Et je tiendrai la gestion en main comme mandataire administratif.

    Ce serait un coup de force et du nouveau!Renforcer encore la gestion en un seul geste. Enfin, disons que je me sens encore très bien, mais que je pense aussi à l’avenir personnel et la politique générale de notre commune. Un rêve pour les uns et un cauchemar pour les autres.

    Je vous promets déjà une chose: du changement, il y en aura au moins un!

    Bonne année.

  2. Après avoir lu le résumé du conseil sur votre site, je peux vous dire que le salaire du (possible, mais pas certain) top administrateur ne sera certainement pas le plus élevé de la commune. Mais pourquoi avoir si peur? Si, et je sais que c’est utopique, RAL gagnerait les élections en 2012,ils auraient quelqu’un qui porte la gestion dans son coeur pour les aider! Quel avantage!

  3. « Het Belang van Limburg » de ce jour cite aussi le départ anticipé du bourgmestre Broers parmi les changements à prévoir dans les collèges échevinaux du Limbourg.
    L’administration communale fouronnaise deviendra alors une véritable armée mexicaine avec un secrétaire communal (dont le rôle se réduit à apposer sa signature), une coordinatrice administrative future secrétaire communale (dont Broers a sans doute évalué les compétences) et un « top administrateur » (comme il se décrit lui-même) qui serait à la fois le bourgmestre de fait, le secrétaire communal de fait et le coordinateur administratif de fait, mais pour tout ça il faudrait payer 3 traitements au lieu d’un seul.

  4. Oui, on sera à deux pour faire ce qui faut faire. Deux avec uns vision très avancée et moderne. Deux à préparer la commune pour l’avenir. Je ne serai pas coordinateur administratif de fait. On distribuera le travail. Et moi, je m’occuperai surtout de la gestion politique et Hilde de la gestion administrative en parfaite harmonie. Que j’aurai beaucoup à dire, c’est vrai. Je ne porterai plus le nom de bourgmestre, c’est vrai. Disons que je serai le guide et que j’y serai aussi pour les habitants.

    MAIS, il y a un grand MAIS! Je n’ai encore RIEN DECIDE et tout dépendra des circonstances personnelles. Il faut savoir que je me sens bien comme bourgmestre et que ma famille – ma femme Kris en tête- et notre groupe préfèrent que je le reste. Comme je nie pas que le poste de mandataire administratif me semble aussi un grand défi avec la possibilité de lancer quelqu’un d’autre sous mes ailes. Le but de tout cela reste le même: servir les gens.

  5. il faut encore réussir dans les examens, avec d’abord un examen linguistique en français puisque ma langue maternelle est le néerlandais (ou le patois limbourgeois) comme la plupart des fouronnais. On y est pas encore donc.

  6. il faut encore réussir dans les examens, avec d’abord un examen linguistique en français puisque ma langue maternelle est le néerlandais (ou le patois limbourgeois) comme la plupart des fouronnais. On y est pas encore donc.

  7. Huub Broers ne doit pas s’inquiéter pour son examen linguistique quand on sait que la personne qui a écrit « Pour remédier à cela plus facile à traiter, la commune offre… » et qui ne peut « registrer » la langue des Fouronnais, a réussi cet examen.
    On m’a même rapporté que la dernière recrue communale a été elle-même étonnée d’avoir réussi.
    Alors, même s’il n’y a plus de mandataires politiques dans le jury, il y a des examinateurs qui sont peut-être encore plus politiquement engagés.
    Et puis, Huub pratique l’immersion linguistique au Standard, à moins qu’il soit dans une tribune à part?

  8. par une francophone fouronnaise, mon cher ami! Pas par quelqu’un qui a un diplôme néerlandais! Tu t’étonnerais si tu le saurais, mais j’ai promis de me taire.
    Et la dernière recrue est Docteur en la Matière. Et elle a travaillé à Liège! Qu’elle était un peu bouleversée, c’est vrai. Heureusement que tu le sais de sa tante, qui est ta soeur. Les routes des idées sont parfois très étroites dans notre commune. Ah, si je pouvais un jour publier les examens de dans le temps. Je voudrais même les reprendre textuellemt et voir les nouveaux résultats. Mais ne te tracasse pas, il y aura une possiblité de refaire un examen en néerlandais. Je veux donner le même texte après tant d’années d’expérience et je te jure que la dame ne réussirait (plus) (pas). J’ai la preuve en main que certaines choses ont été « mises en place » avant l’examen. Sur papier!!! Et toi, homme intélligent que tu es, tu le sais aussi bien que moi!

  9. par une francophone fouronnaise, mon cher ami! Pas par quelqu’un qui a un diplôme néerlandais! Tu t’étonnerais si tu le saurais, mais j’ai promis de me taire.
    Et la dernière recrue est Docteur en la Matière. Et elle a travaillé à Liège! Qu’elle était un peu bouleversée, c’est vrai. Heureusement que tu le sais de sa tante, qui est ta soeur. Les routes des idées sont parfois très étroites dans notre commune. Ah, si je pouvais un jour publier les examens de dans le temps. Je voudrais même les reprendre textuellemt et voir les nouveaux résultats. Mais ne te tracasse pas, il y aura une possiblité de refaire un examen en néerlandais. Je veux donner le même texte après tant d’années d’expérience et je te jure que la dame ne réussirait (plus) (pas). J’ai la preuve en main que certaines choses ont été « mises en place » avant l’examen. Sur papier!!! Et toi, homme intélligent que tu es, tu le sais aussi bien que moi!

  10. Je suis dans une tribune tout à fait normale et souvent avec autours de moi des fouronnaises et fouronnais francophones. Et qu’on s’amuse ensemble. Et en français. Je leur ai demandé de parler uniquement la langue de Voltaire.Je suis à Liège et je respecte les liegeois,leur culture et leur langue. Et je me sens surtout très bien avec et entre eux. C’est aussi le cas quand on se déplace en groupe à l’étranger: on chante, on crie, on rit, on mange ensemble et tout le monde sait très bien qui je suis et me respecte. Et oui, à Liège et au Standard on respecte ce que je pense, ce que je fais et pourquoi je le fais. Maintenant au quelques fouronnais qui sont encore en retard…

  11. Je suis dans une tribune tout à fait normale et souvent avec autours de moi des fouronnaises et fouronnais francophones. Et qu’on s’amuse ensemble. Et en français. Je leur ai demandé de parler uniquement la langue de Voltaire.Je suis à Liège et je respecte les liegeois,leur culture et leur langue. Et je me sens surtout très bien avec et entre eux. C’est aussi le cas quand on se déplace en groupe à l’étranger: on chante, on crie, on rit, on mange ensemble et tout le monde sait très bien qui je suis et me respecte. Et oui, à Liège et au Standard on respecte ce que je pense, ce que je fais et pourquoi je le fais. Maintenant au quelques fouronnais qui sont encore en retard…

  12.  » [i]Je suis à Liège et je respecte les liegeois,leur culture et leur langue.[/i] (…) [i]Maintenant au quelques fouronnais qui sont encore en retard…[/i]  »

    Si l’on prend ces mots à la lettre, on peut aussi les retourner dans l’autre sens : [i]je suis à Fourons (où je suis accessoirement Bourgmestre) et je respecte les Fouronnais, leur culture et leur langue, [b]même s’il y a deux communautés linguistiques.[/b][/i]

    Les Fouronnais  » qui sont en retard « , comme le souligne Monsieur Broers d’une façon élégante quiu lui est propre, ce sont bien naturellement les Francophones qui désirent encore vivre dans leur culture et leur identité personnelle, qui passe bien évidemment par un respect de leur langue.

    Pourquoi deux poids deux mesures selon qu’on se trouve dans les travées du Standard ou dans les rues de Fourons ? Poser la question, c’est déjà y répondre, non ?

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