Sarko déçoit en France et ailleurs aussi

 

beaudet

Caricature du site des 253 membres en lock-out du Syndicat des travailleurs de l’information du Journal de Montréal.

« Le Québec français et libre a désormais un puissant ennemi qui siège à l’Élysée. Nicolas Sarkozy, pantin du multimilliardaire Paul Desmarais, en a remis ces jours-ci, lors de la remise d’une décoration à un autre pantin de Power Corp., Jean Charest celui-là, en enterrant définitivement la formule de « non-ingérence, non-indifférence ». Plus que jamais, nos ennemis fourbissent leurs armes et espèrent nous donner la mort. Mais notre fougue et notre intelligence nous permettront quand même, j’en suis sûr, de les vaincre.

Sarkozy avait fait un premier pas dans cette direction l’été dernier, à Québec. Le tollé soulevé avait convaincu les politiques français de commenter les propos du Président de la République en usant de beaucoup d’ambiguïté. Mais hier, en France cette fois, Sarkozy a clairement renié cette dernière stratégie. Il a cru bon tenir des mots très durs à l’égard des indépendantistes québécois, les qualifiant de sectaires et de gens furieux enfermés sur eux-mêmes! » (Le Québécois).

Encore heureux finalement qu’il n’a encore rien dit à propos des problèmes communautaires en Belgique. Suffirait qu’un flamingant possède un beau yacht et l’y invite pour qu’il massacre sans doute tout ce qui est francophone et même francophile.