Fourons, c’est résolu…

Deleuze

Sur la Première ce matin, interview d’Olivier Deleuze : « Vous vous souvenez des Fourons ? Et bien, maintenant, les Fourons, c’est résolu »

A écouter en podcast pour celui que cela intéresse.

J’ai pris mon dictionnaire au mot « résoudre ». On y mentionne les termes : faire disparaître, dissoudre, décomposer.

Surtout révélateur de l’état d’esprit de son parti à notre égard.

C’est aussi une bonne manière de traiter le problème de la périphérie de Bruxelles, il suffit de faire disparaître les francophones, non ? 

Noël

 

10 réflexions sur « Fourons, c’est résolu… »

  1. A force de se promener à travers le monde, Deleuze ne sait d’évidence plus ce qui se passe, ni à Fourons ni en Flandre…Ecolo se réunit avec Groen (Geert Lambert et autres anciens de la Volksunie)
    qui est exactement sur la ligne nationaliste pour ce qui est de BHV.Tinne Van der Straeten, qui avait osé s’abstenir en 2007, l’a chèrement payé.

  2. Que Deleuze coupe ses derniers cheveux et les mette dans un bas nylon pour aller ramasser les boulettes en Louisiane plûtôt que de venir nous emmerder avec ses commentaires nationaus-intégristes.

  3. @ Michaël: Tu n’as pas bien regardé. Il y a un commentaire à la fin de l’article de Philippe Leruth. Huub Broers commente? Je dirais plutôt « Huub Broers crache… tout et n’importe quoi ». Comme d’habitude. Cela va des questions qu’il se fait poser par ses conseillers communaux aux derbies entre le Standard et Liège qu’il voudrait faire jouer au stade Valentijn le frappeur (ou presque, j’exagère à peine).

  4. Non mon cher JL, mais le club Liegeois joue chaque année un de ses matchs sur le terrain Valtentijn Theunissen!! L’année passée c’était contre Genk. On s’entend bien. Ce qui fait mal naturellement. Et puis, Phil et moi, on se parle parfois des grandes équipes!

  5. Evidemment,les Fourons c’est une affaire classée!
    Van Rompuy l’a encore rappelé dernièrement!Et DeWever ne les lâchera surtout pas.
    Ce sujet est devenu une occupation pour pensionné!On passe son temps comme on peut…

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