13 réflexions sur « Conseil communal matinal »

  1. Pour une chose purement technique et résolue entretemps!!! L’échevin se laissera guider par moi? Tiens, c’est du nouveau. Non, il y a beaucoup plus que ça. Vous le lui autorisez pas de fonctionner comme il le voudrait! En fait, lui, il n’a rien contre nos pistes cyclabes. Mais vous les négativistes, vous êtes contre tout progrès! Même la sécurité routière ne compte pas. Déplorable.

  2. Pour une chose purement technique et résolue entretemps!!! L’échevin se laissera guider par moi? Tiens, c’est du nouveau. Non, il y a beaucoup plus que ça. Vous le lui autorisez pas de fonctionner comme il le voudrait! En fait, lui, il n’a rien contre nos pistes cyclabes. Mais vous les négativistes, vous êtes contre tout progrès! Même la sécurité routière ne compte pas. Déplorable.

  3. Je nie donc pas que je me suis abstenu pour donner un signal sur un point technique (résolu). Mais, je n’ai pas dit « NON » au projet. J’avais aussi oublié d’expliquer qu’une abstention ne peut jamais aboutir dans un non-consensus! Cela ne se fait qu’en votant « contre » une décision. Ce n’est donc pas mon attitude qui est à l’origine de ce conseil plus ou moins matinal. Et puis, reste la liberté des conseillers de venir ou pas. Pour l’un ou l’autre du groupe Retour (Remersdaal est tellement loin) l’absence devient presque la règle même si certains le présentent comme « la flêche montante » du groupe.

    Que le groupe de Retour ne le considère pas « urgent » quand on risque de perdre beaucoup d’argent européen (145.000 euros, soit 5.850.000 anciens francs) est leur choix. Ce n’est pas le mien. Je me suis battu pour l’avoir et je dois règler toutes les choses avant le 30 juin. Donc pour commencer la désignation urgente de l’entrepreneur. Il n’y a donc pas de temps à perdre. Attendre le conseil prochain (même celui de la semaine prochaine) serait trop tard).

    Entreprendre pour avancer en faveur de nos concitoyens!! N’est-ce pas le but pourquoi on nous a désignés aus élections???

  4. Je nie donc pas que je me suis abstenu pour donner un signal sur un point technique (résolu). Mais, je n’ai pas dit « NON » au projet. J’avais aussi oublié d’expliquer qu’une abstention ne peut jamais aboutir dans un non-consensus! Cela ne se fait qu’en votant « contre » une décision. Ce n’est donc pas mon attitude qui est à l’origine de ce conseil plus ou moins matinal. Et puis, reste la liberté des conseillers de venir ou pas. Pour l’un ou l’autre du groupe Retour (Remersdaal est tellement loin) l’absence devient presque la règle même si certains le présentent comme « la flêche montante » du groupe.

    Que le groupe de Retour ne le considère pas « urgent » quand on risque de perdre beaucoup d’argent européen (145.000 euros, soit 5.850.000 anciens francs) est leur choix. Ce n’est pas le mien. Je me suis battu pour l’avoir et je dois règler toutes les choses avant le 30 juin. Donc pour commencer la désignation urgente de l’entrepreneur. Il n’y a donc pas de temps à perdre. Attendre le conseil prochain (même celui de la semaine prochaine) serait trop tard).

    Entreprendre pour avancer en faveur de nos concitoyens!! N’est-ce pas le but pourquoi on nous a désignés aus élections???

  5. José a voté contre ce point au collège. C’était son choix personnel.
    D’autres conseillers R@L voudraient peut-être dire qu’ils sont favorables à des pistes cyclables, mais leur permettras-tu de le faire?
    Ai-je bien compris que tu annonces un conseil communal pour la semaine prochaine?

  6. José a voté contre ce point au collège. C’était son choix personnel.
    D’autres conseillers R@L voudraient peut-être dire qu’ils sont favorables à des pistes cyclables, mais leur permettras-tu de le faire?
    Ai-je bien compris que tu annonces un conseil communal pour la semaine prochaine?

  7. Oui, il y aura encore un conseil. Mais pas jeudi à 20.00 heures. Et la présidente a demandé à haute voix qui voulait avoir la parole. Je n’ai pas vu de réaction, sauf celle de certains conseillers pour perturber la séance. José a bel et bien le droit de prendre sa propre position dans tous les dossiers. Au sein du collège on a pas de problème. Mais là, il n’y a pas de presse naturellement et pas de Jean-Louis Xhonneux et Cie prenant leurs listiers en otage.

  8. Je me souviens avoir entendu un jour Huub Broers dire que la Maison communale de Fouron-le-Comte, érigée avec les deniers publics, était  » sa  » Maison communale : cette phrase, même si elle est sortie de son contexte, est révélatrice de la pensée profonde du Bourgmestre fouronnais.

    Son dernier commentaire est tout aussi parlant…

    Monsieur Broers n’aime pas la presse, spécialement lorsque celle-ci vient de Wallonie et/ou de Bruxelles : la preuve en est sa critique récente de  » Silence, on jase ! « , rubrique paraissant chaque samedi dans les pages du Jour Verviers : ceci me fait penser à d’autres bourgmestres ou échevins à qui l’on reproche régulièrement une certaine  » mauvaise gouvernance « . Et repose la question fondamentale de la liberté de la presse…

    Monsieur Broers n’aime pas non plus l’opposition lorsque celle-ci dénonce les manquements flagrants de la majorité : le fait que Monsieur Xhonneux et moi-même participions à la stratégie politique de notre groupe prouve que nous nous investissons dans la vie politique et sociale de notre commune : rien de plus, rien de moins.
    A-t-on déjà dénoncé le fait de voir Emiel Lemmens et le voisin turbulent Fred Banens au Conseil communal ?

    Il est troublant de constater que, lorsque le public est composé majoritairement de Francophones fouronnais, la pression devient quasi insoutenable pour le Bourgmestre, sa Présidente du Conseil pérorant tel un perroquet l’une ou l’autre suspension de séance ainsi que pour les militants flamingants de service, tels Stan Laurel, alias Williameke Nyssen et Oliver Hardy, qui n’est autre que Victor Walpot ( » 9-0 « ).

    Je ne vois pas en quoi nos  » listiers  » seraient pris  » en otage  » par ces diverses présences. Quoi qu’il en soit, je serai présent ce jeudi 24 avril à 8.00 du matin pour prendre à nouveau connaissance des divers dénis de démocratie auxquels le sieur Broers et sa clique nous ont déjà habitués…

  9. Je me souviens avoir entendu un jour Huub Broers dire que la Maison communale de Fouron-le-Comte, érigée avec les deniers publics, était  » sa  » Maison communale : cette phrase, même si elle est sortie de son contexte, est révélatrice de la pensée profonde du Bourgmestre fouronnais.

    Son dernier commentaire est tout aussi parlant…

    Monsieur Broers n’aime pas la presse, spécialement lorsque celle-ci vient de Wallonie et/ou de Bruxelles : la preuve en est sa critique récente de  » Silence, on jase ! « , rubrique paraissant chaque samedi dans les pages du Jour Verviers : ceci me fait penser à d’autres bourgmestres ou échevins à qui l’on reproche régulièrement une certaine  » mauvaise gouvernance « . Et repose la question fondamentale de la liberté de la presse…

    Monsieur Broers n’aime pas non plus l’opposition lorsque celle-ci dénonce les manquements flagrants de la majorité : le fait que Monsieur Xhonneux et moi-même participions à la stratégie politique de notre groupe prouve que nous nous investissons dans la vie politique et sociale de notre commune : rien de plus, rien de moins.
    A-t-on déjà dénoncé le fait de voir Emiel Lemmens et le voisin turbulent Fred Banens au Conseil communal ?

    Il est troublant de constater que, lorsque le public est composé majoritairement de Francophones fouronnais, la pression devient quasi insoutenable pour le Bourgmestre, sa Présidente du Conseil pérorant tel un perroquet l’une ou l’autre suspension de séance ainsi que pour les militants flamingants de service, tels Stan Laurel, alias Williameke Nyssen et Oliver Hardy, qui n’est autre que Victor Walpot ( » 9-0 « ).

    Je ne vois pas en quoi nos  » listiers  » seraient pris  » en otage  » par ces diverses présences. Quoi qu’il en soit, je serai présent ce jeudi 24 avril à 8.00 du matin pour prendre à nouveau connaissance des divers dénis de démocratie auxquels le sieur Broers et sa clique nous ont déjà habitués…

  10. A partir du moment où une langue nationale n’est pas tolérée au sein du Conseil communal d’une commune dite de la frontière linguistique à régime spécial, dans laquelle quasi la moitié de ses citoyens s’expriment dans ladite langue, on peut clairement appeler cela un déni de démocratie, ainsi que cela se passe en périphérie bruxelloise.

    Voilà pourquoi il est inutile de se poser la question de la non-réaction des élus R@L, qui plus est lorsque l’ordre du jour de la dernière séance fut honteusement contourné et vidé de sa substance : on n’explique pas le point principal et on évite le débat !

    Sans oublier de transmettre aux conseillers la délibération du Collège communal et non des explications succinctes indignes d’une commune bien gérée !

    Voici des méthodes qui ne peuvent qu’interpeller une fois de plus : bientôt, j’écrirai certainement  » comme d’habitude  » !

  11. Et où sont donc les grossièretés ou vulgarités dans mes commentaires précédents ?

    Au risque de vous décevoir, Monsieur Broers, vous utilisez l’arme des faibles :  » quand je n’ai plus d’arguments à portée de main, je raconte n’importe quoi !  »

    Si je suis votre argumentaire, certes relativement pauvre, quand vous nous traitez de  » négativistes  » (voir ci-dessous), je devrais aussi vous qualifier d’impoli ?

    L’impolitesse, c’est aussi d’inviter les élus francophones à un conseil très matinal sans leur laisser les moyens de débattre d’un point qui, soi-disant, réclame une  » hoogdringendheid  » ! Chacun sa définition, n’est-il pas ?

    Et, Monsieur Broers, si vous changiez définitivement l’intitulé de votre URL : ce n’est pas huub.broers.be mais bien huubbroers.be. Bizarre que vous continuiez à le remplir de cette façon dans les cases prévues à cet effet, alors que vous écriviez sur le même site que ce n’était pas la même orthographe…

Les commentaires sont fermés.